Empereur du Mexique exécuté

L'archiduc autrichien Ferdinand Maximilien, installé comme empereur du Mexique par l'empereur français Napoléon III en 1864, est exécuté sur ordre de Benito Juarez, président de la République mexicaine.

En 1861, le libéral mexicain Benito Juarez est devenu président d'un pays en ruine financière, et il a été contraint de faire défaut sur ses dettes envers les gouvernements européens. En réponse, la France, la Grande-Bretagne et l'Espagne ont envoyé des forces navales à Veracruz pour demander le remboursement. La Grande-Bretagne et l'Espagne ont négocié avec le Mexique et se sont retirées, mais la France, dirigée par Napoléon III, a décidé de saisir l'occasion pour se tailler un empire dépendant du territoire mexicain. À la fin de 1861, une flotte française bien armée a pris d'assaut Veracruz, débarquant une grande force française et poussant le président Juarez et son gouvernement à battre en retraite.

Certain que la victoire française viendrait rapidement au Mexique, 6 000 soldats français commandés par le général Charles Latrille de Lorencez ont entrepris d'attaquer Puebla de Los Angeles, une petite ville du centre-est du Mexique. De son nouveau quartier général dans le nord, Juarez a rassemblé une force hétéroclite d'hommes fidèles et les a envoyés à Puebla. Menés par le général Ignacio Zaragoza, né au Texas, les 2 000 Mexicains ont fortifié la ville et se sont préparés à l'assaut français. Le 5 mai 1862, Lorencez a attiré son armée, bien approvisionnée et soutenue par l'artillerie lourde, devant la ville de Puebla et a commencé son assaut par le nord. La bataille a duré du lever du jour au début de la soirée, et lorsque les Français se sont finalement retirés, ils ont perdu près de 500 soldats contre moins de 100 Mexicains tués.

Bien qu'il ne s'agisse pas d'une victoire stratégique majeure dans la guerre globale contre les Français, la victoire de Saragosse à Puebla représentait une grande victoire morale pour le gouvernement mexicain et symbolisait la capacité du pays à défendre sa souveraineté contre la menace d'une puissante nation étrangère. Aujourd'hui, les Mexicains célèbrent l'anniversaire de la bataille de Puebla sous le nom de Cinco de Mayo. Six ans plus tard, sous la pression des États-Unis nouvellement réunis, la France se retire. Abandonné au Mexique, l'empereur Maximilien est capturé par les forces de Juarez et exécuté le 19 juin 1867.

L'empereur raté du Mexique

Ay dios mio ! Un Habsbourg a quitté l'Europe pour devenir empereur au Mexique, mais cela n'a pas fini muy bien pour lui.

Nous allons bien, Dieu merci, et nous nous habituons de plus en plus à la situation et au mode de vie locaux. Il y a énormément de travail à faire, mais on le fait avec plaisir car on voit qu'on l'apprécie avec gratitude. Pour le moment, il ne peut être question d'expériences constitutionnelles. Les bonnes personnes doivent d'abord apprendre à obéir avant de pouvoir avoir leur mot à dire en politique. J'essaie de procéder calmement et d'éviter d'agir de façon imprudente.

Plaque de pierre sur le monument à l'archiduc Maximilien sur la place principale de Hietzing

Édouard Manet : l'exécution de l'empereur Maximilien du Mexique, huile sur toile, 1868/69

Le monument à l'archiduc Maximilien à Hietzing près de Vienne, xylographe, c. 1890

Monument à l'archiduc Maximilien sur la place principale de Hietzing, érigé en 1871

Maxingstrasse à Vienne's 13e arrondissement municipal, plaque de rue

Un empire des Habsbourg en Amérique ? Oui, il y a eu une telle chose, mais pour seulement quelques années. Lorsqu'en 1863, l'empereur Napoléon III offrit au frère cadet de François-Joseph, l'archiduc Ferdinand Maximilien, la chance de devenir empereur du Mexique, l'ambitieux archiduc trouva cette perspective attrayante. Cependant, ce qu'il n'était pas en mesure de savoir, c'est que le trône ne lui était offert qu'au nom d'une petite minorité de cléricaux-conservateurs mexicains soutenus par les troupes d'occupation françaises. Lorsque Maximilien arrive en 1864, il est proclamé empereur du Mexique face à une grande résistance populaire.

Sa vision d'être accueilli au Mexique par des foules en liesse devait rester un rêve non réalisé – au contraire, il s'est retrouvé confronté à un gouvernement républicain légalement institué et mêlé à une guerre civile. Cela explique pourquoi deux drapeaux mexicains ont été utilisés à cette époque : le drapeau républicain, qui est similaire à la version actuelle, et le drapeau impérial avec un aigle couronné comme symbole de l'empire. Le retrait français du Mexique sonna le glas de Maximilien : en 1867, en tant que représentants d'une politique française infructueuse, lui et deux de ses généraux furent condamnés à mort par une cour martiale et fusillés. Cependant, il y avait des rumeurs selon lesquelles l'empereur à court terme du Mexique n'aurait pas été exécuté mais aurait vécu au Salvador sous le nom de Justo Armas.

Le bref intermède pendant lequel Maximilien était empereur du Mexique était basé sur une évaluation entièrement erronée des intérêts internationaux et des constellations de pouvoir en Amérique. Pour participer à l'expérience, il dut non seulement renoncer à toute prétention au pouvoir en Autriche, mais fut également victime de l'ingérence française dans les affaires intérieures du Mexique. Maximilien est encore commémoré dans une statue érigée devant l'église paroissiale de Hietzing par les jardins du palais à Schönbrunn peu après son exécution. Il s'était construit une villa à proximité, dans la rue nommée plus tard Maxingstrasse en sa mémoire.

Reste à noter que Maximilien n'est pas le seul Habsbourg à s'être retrouvé en Amérique pour des raisons « professionnelles » : une archiduchesse nommée Léopoldine devient impératrice du Brésil.

Début de carrière

Maximilien de Habsbourg est né au château de Schönbrun près de Vienne le 6 juillet 1832. Il était le deuxième fils de l'archiduc François Charles, frère de l'empereur d'Autriche, François-Joseph. Maximilien a été élevé dans la splendeur et la richesse, mais il a reçu une éducation cosmopolite libérale. Dès son plus jeune âge, il voyageait beaucoup et parlait couramment l'allemand, l'anglais, le hongrois, le slave et l'espagnol. Le jeune archiduc a habilement servi son oncle, l'empereur, en tant que commandant de la flotte impériale et en tant qu'envoyé impérial à Paris. Alors qu'il occupait ce dernier poste, il visita la Belgique, où il rencontra et épousa la séduisante princesse Carlotta, fille du roi Léopold Ier, en 1857.

La même année, la cour autrichienne envoya Maximilien comme vice-roi dans la province italienne de Lombardie-Vénétie. En Italie, il tenta de promulguer des réformes libérales et d'adoucir la politique sévère suivie par l'Autriche après la Révolution italienne de 1848. Mécontent de sa libéralité, la cour le rattache à la flotte adriatique. En 1854, il se retira dans la vie privée. Il a ensuite visité le Brésil et est rentré chez lui pour construire le château idyllique de Miramar sur ses domaines autrichiens.

Maximilien était décrit à l'époque comme mesurant 6 pieds 2 pouces, beau, diplomate et gracieux, ou le monarque idéal pour l'ère du despotisme éclairé. Ignorant l'approche des tempêtes, Maximilian et Carlotta vivaient heureux dans leur belle maison, apparemment satisfaits d'échapper aux difficultés de la vie publique. Leur répit devait être court.

1927 : Qu'est-il arrivé à la dernière impératrice du Mexique ?

La dernière impératrice du Mexique est décédée ce jour-là en 1927. Elle s'appelait Carlota, Charlotte en version française, ou Carlota en espagnol. Elle est née en 1840 au Palais Royal de Laeken près de la capitale belge de Bruxelles. Son père était le premier roi des Belges, Léopold Ier de la dynastie Saxe-Cobourg et Gotha. Il était également l'oncle de la célèbre reine britannique Victoria. Charlotte était donc une princesse de Belgique et son frère Léopold II a hérité du trône de son père sous le nom de Léopold II de Belgique (il était connu pour avoir plus tard gagné l'ensemble du Congo en tant que possession coloniale personnelle).

Comment une princesse belge est-elle devenue impératrice du Mexique ? À savoir, à l'âge de 17 ans, elle a épousé l'archiduc Maximilien d'Autriche. Il était un frère cadet du célèbre empereur austro-hongrois François-Joseph I. En 1864, Maximilien fut nommé empereur du Mexique. Cela a été fait à l'initiative de Napoléon III de France - qui a fait une intervention militaire au Mexique dans le but de créer une sorte d'empire catholique comme contrepoids aux États-Unis principalement protestants au nord.

Dans l'ensemble, Charlotte est devenue l'impératrice du Mexique. Elle a pris la forme espagnole de son nom – Carlota. Avec son mari Maximilien, elle a été couronnée dans une cathédrale de Mexico, qui est devenue la capitale de l'empire mexicain. Ils ont emménagé dans le château Castillo de Chapultepec à la périphérie de Mexico. Fait intéressant, ce château est la seule résidence impériale de toute l'Amérique du Nord.

Cependant, Napoléon III de France a décidé de se retirer rapidement de l'aventure mexicaine, si bien que Maximilien et sa femme se sont retrouvés bloqués. Les républicains mexicains ont capturé Maximilian et l'ont exécuté par peloton d'exécution. L'impératrice Carlota s'enfuit en Europe et vécut comme veuve, d'abord au château de Miramar près de Trieste, puis au château de Bouchout dans sa Belgique natale, où elle mourut. Elle n'est jamais retournée au Mexique.

Les Français au Mexique : la malheureuse histoire de l'archiduc Maximilien

Les États-Unis ont été incapables d'appliquer la doctrine Monroe pendant les années de guerre civile et plusieurs puissances européennes ont envisagé de se mêler des affaires de l'hémisphère occidental. L'aventure la plus notable a été attribuée à Napoléon III de France, qui a utilisé le prétexte de collecter des prêts en souffrance au Mexique pour justifier l'invasion de ce pays. En vérité, les Français essayaient vraiment de retrouver une partie de la grandeur des premiers temps napoléoniens. Ils avaient le soutien d'éléments conservateurs au Mexique, qui en avaient assez du cycle régulier d'agitation et de révolution. Les forces françaises ont subi quelques défaites embarrassantes au début, mais ont pu occuper Mexico en juin 1863. Ils ont établi un gouvernement fantoche sous l'archiduc austro-hongrois Fernando Maximilian, qui a été nommé empereur du Mexique en 1864. Opposition du gouvernement précédent et libéral ( ou républicaines) ont plongé le pays dans la guerre générale. Les insurgés du nord étaient dirigés par Benito Juárez et ceux du sud par Porfirio Díaz. Les deux armées ont été défaites à plusieurs reprises par les forces françaises, mais ont réussi à maintenir une présence sur le terrain. Les États-Unis se sont opposés à la présence européenne, mais ont été distraits par leur propre agitation. À la fin de la guerre de Sécession en 1865, le secrétaire d'État William H. Seward fit monter la pression diplomatique. Les Français, fatigués de la ponction financière plus que craignant la désapprobation américaine, ont commencé à retirer leurs forces. La présence française est restée mais a été concentrée dans les grandes villes la guerre dans les provinces a été menée par des Mexicains engagés pour l'armée impériale. Ces forces ressentaient une loyauté minimale envers Maximilien et les taux de désertion étaient très élevés. Des soldats de fortune de toutes les régions du monde ont été attirés par ce conflit, y compris un grand nombre d'anciens combattants de la guerre de Sécession. Au début de 1867, les soldats français restants se retirent, l'empire s'effondre presque immédiatement. Maximilian a été capturé, jugé et exécuté en juin de la même année. Sa femme Carlotta a été épargnée, mais elle a sombré dans la folie. Connue sous le nom de « Carlotta la Loca », elle a vécu ses dernières années dans un asile français. Au Mexique, le gouvernement a été repris par Juárez, qui a occupé ses fonctions jusqu'à sa mort en 1872. Plus tard, Díaz régnera en tant que dictateur pendant plus de 30 ans. Cet incident a eu un impact supplémentaire sur l'histoire américaine. Lors de la conférence de paix de Hampton Roads au début de 1865, les délégués confédérés utilisèrent la présence française au Mexique comme monnaie d'échange majeure. Ils ont proposé qu'un effort militaire conjoint soit organisé pour chasser les Français du Mexique, mais ont insisté pour que la guerre civile soit terminée et que la Confédération soit pleinement reconnue. Lincoln a rejeté l'affaire dans son intégralité.

Carlota en Europe

Carlota a convaincu son mari de ne pas abdiquer et elle est retournée en Europe pour tenter de gagner du soutien pour son mari et son trône précaire. Arrivée à Paris, elle reçoit la visite de l'épouse de Napoléon, Eugénie, qui lui organise alors une rencontre avec Napoléon III pour obtenir son soutien à l'Empire mexicain. Il a refusé. Lors de leur deuxième rencontre, elle a commencé à pleurer et n'a pas pu s'arrêter. Lors de leur troisième rencontre, il lui a dit que sa décision de garder les troupes françaises hors du Mexique était définitive.

Elle a glissé dans ce qui était probablement une grave dépression, décrite à l'époque par sa secrétaire comme "une grave attaque d'aberration mentale". Elle a eu peur que sa nourriture soit empoisonnée. Elle a été décrite comme riant et pleurant de manière inappropriée, et parlant de manière incohérente. Elle se comportait étrangement. Lorsqu'elle est allée rendre visite au pape, elle s'est comportée si étrangement que le pape lui a permis de passer la nuit au Vatican, du jamais vu pour une femme. Son frère vint enfin la conduire à Trieste, où elle resta à Miramar.

Empereur du Mexique exécuté - HISTOIRE

Monnaies du Second Empire du Mexique

Napoléon III et ses plans pour l'Empire

Méticuleusement recherché et rempli de récits colorés

La guerre civile prit fin au Mexique en 1860 et le nouveau gouvernement à court d'argent de Benito Juarez suspendit les paiements sur les dettes étrangères contractées par le président déchu Miramon. La Grande-Bretagne, l'Espagne et la France ont envoyé des navires de guerre à Vera Cruz pour protéger leurs investissements. Des émigrés mexicains à Paris persuadèrent l'impératrice Eugénie (1826-1920 épouse de Napoléon III), que seule une monarchie forte pouvait rétablir l'ordre au Mexique et l'impératrice pressa son mari d'intervenir. La France était très prestigieuse, ayant récemment présidé la paix de Paris en 1860 qui a mis fin à la guerre de Crimée et a achevé le canal de Suez en 1869 . L'empire colonial français s'étendait (le "Deuxième Empire Colonial") avec la conquête d'Alger et les ajouts ultérieurs de territoire algérien à partir de 1830, la Cochinchine (sud du Vietnam) à partir de 1864 et le Cambodge est devenu un protectorat de la France en 1867.

Napoléon III avait un plan plus grandiose que le recouvrement de créances lorsqu'il envoya des troupes au Mexique. Poussé par son propre rêve d'imiter le grand Napoléon et son épouse espagnole Eugénie, il était déterminé à redonner de la grandeur à la France. Il souhaitait également construire un canal et un chemin de fer à travers l'isthme de Tehuantepec pour réaliser un autre grand exploit d'ingénierie comme le canal de Suez. Napoléon III convainquit l'archiduc autrichien Maximilien von Habsbourg que le peuple mexicain l'accueillerait comme roi. L'Amérique était trop impliquée dans sa propre guerre civile pour appliquer la doctrine Monroe et Napoléon a envoyé une force expéditionnaire de 27 000 au Mexique. Comme mentionné précédemment, les Espagnols et les Britanniques ont retiré leurs troupes lorsqu'ils ont appris les intentions françaises.

L'armée française entre dans Vera Cruz Illustrated Times 1862

Charge de la cavalerie mexicaine à la bataille de Puebla

La peinture représente la charge de la cavalerie mexicaine écrasante

La défaite française à Puebla

Les Français ont marché de la côte à Mexico sous le commandement de Charles Latrille. Les Français s'attendaient à être bien accueillis par les conservateurs et le clergé. Les Mexicains se sont retranchés à Puebla et l'ont fortement fortifié sous le commandement du général Ignacio Zaragoza, où environ 4 500 soldats mexicains ont affronté environ 6 000 Français. Les Français s'attendaient à ce que les Mexicains battent en retraite face à un assaut agressif et attaquèrent imprudemment. Les Français manquaient de munitions et nombre de leurs troupes étaient affaiblies par la maladie. Le 5 mai 1862, les forces mexicaines parviennent à repousser les Français à Veracruz et la date devient la grande fête mexicaine du Cinco de Mayo. Les Mexicains ont perdu 83 hommes tandis que les Français en ont perdu 462.

Bande-annonce officielle de Cinco De Mayo La Batalla

Ferdinand Maximilien et sa femme Marie Charlotte

Juárez 1939 avec Bette Davis et Paul Muni, le film se concentre sur le conflit entre Maximilien Ier, un dupe politique européen qui est installé comme le souverain fantoche du Mexique par les Français, et Benito Juárez, le président du pays.

Les troupes françaises à Cherbourg embarquent pour le Mexique

En apprenant le désastre de Puebla, Napoléon ordonna 30 000 renforts. Il fallut un an avant que l'armée française ne soit prête à marcher à nouveau. Les Français bombardèrent Puebla, sous le commandement du général Jesus Ortega après la mort du général Ignacio Zaragoza de la fièvre typhoïde, pendant des jours et l'obligèrent à se rendre après un siège de deux mois. L'armée française du maréchal Elie Forey a pris Mexico le 31 mai après l'évacuation des Juaristas au nord de San Luis Potosi.

Mortiers français à Puebla, Harper&# 39s Weekly 1863

La bataille de Camaron

Une bataille à cette époque, celle de Camaron le 30 avril 1863, dans l'état de Veracruz devint l'une des plus célèbres dans les annales de la Légion étrangère française. Ici, 60 légionnaires sous le commandement du capitaine Jean Danjou, qui avait une main de bois, ont rencontré une force d'environ un millier de guérilleros mexicains où ils ont combattu jusqu'à ce que seuls cinq légionnaires et le capitaine Jean Danjou aient survécu. Ils se sont rendus et ont été libérés lors d'un échange de prisonniers.

L'histoire de la main en bois de la Légion étrangère française

Carte des opérations pendant les Français

Intervention au Mexique. Cliquez pour agrandir l'image.

Maximilien devient empereur du Mexique

Le 3 juin 1863, le commandant français choisit un gouvernement provisoire de 35 conservateurs. Le triumvirat exécutif était composé du général Juan Almonte, du général Mariano Salas et de l'évêque Pelagio Labastida. En octobre 1863, une délégation de conservateurs mexicains rendit visite à Ferdinand Maximilien en Europe et lui proposa de devenir empereur du Mexique. Maximilien était d'accord si cela était accepté par le peuple mexicain lui-même. Un plébiscite a eu lieu au Mexique sous le contrôle de l'armée française, qui l'a bien sûr approuvé. Avant que Maximilien ne quitte l'Europe, il a rencontré Napoléon et il a été convenu que Maximilien paierait les salaires des troupes françaises qui resteraient au Mexique jusqu'en 1867. Il est proclamé Maximilien Ier empereur du Mexique le 10 avril 1864.

L'administration de l'empereur

Ferdinand et sa femme Marie arrivèrent à Veracruz en mai 1864 où ils furent froidement accueillis par la population locale. Le 12 juin, ils sont arrivés à Mexico après avoir rendu hommage à la Vierge de Guadalupe à la basilique de Guadalupe. Une cour impériale fut établie au château de Chapultepec. Une fois par semaine, il ouvrait le château au public pour entendre les préoccupations de la population et faisait le tour des provinces. Il a déclaré une presse libre et a déclaré une amnistie générale pour gagner le soutien du peuple.

À la consternation de ses alliés conservateurs, Maximilien a soutenu plusieurs politiques libérales proposées par l'administration Juarez, telles que les réformes agraires, les libertés religieuses et l'extension du droit de vote au-delà de la classe des propriétaires terriens. L'empereur refusa de suspendre les lois de réforme qui restitueraient les terres de l'église et lui imposa même des emprunts forcés. L'empereur, un franc-maçon, se considérait comme un despote éclairé et espérait en plus gagner le soutien des libéraux mexicains.

Le soutien de Napoléon a commencé à décliner alors que les Mexicains se battaient contre la domination française, mais Maximilien et Carlota se considéraient comme une mission sacrée. Il rédigea une nouvelle constitution qui prévoyait une monarchie héréditaire, la tolérance religieuse, l'égalité devant la loi et supprima le péonage de la dette. Il a cherché à utiliser le clergé comme fonctionnaires et à payer des salaires afin d'éliminer la dîme et les frais. Il a même nommé José Fernando, un libéral modéré, au poste de secrétaire aux Affaires étrangères. Les libéraux, pour la plupart, n'ont pas été impressionnés par ces actions et Maximilien n'a réussi qu'à les aliéner à la fois libéraux et conservateurs. Maximilien fréquenta des prostituées et Carlota, de peur d'attraper une maladie, refusa de coucher avec lui, créant un problème de succession. Cela a été résolu en adoptant le petit-fils du premier empereur du Mexique.

Des jours sombres pour les républicains

Juarez s'est retiré à San Luis Potosi puis à Chihuahua. Les forces françaises ont ensuite forcé sa petite armée plus au nord jusqu'à l'actuelle Ciudad Juarez à travers la frontière d'El Paso. L'empire était le plus fort de 1864 à 1865. Le maréchal Bazaine a vaincu Porfirio Diazin Oaxaca après un siège de six mois. Après sa chute, les républicains ne détenaient que quatre États, Guerro, Chihuahua, Sonora et Baja.

L'Empereur publie le Décret Noir

En octobre 1865, l'empereur croyait que Juarez s'était enfui aux États-Unis, ce qui n'était pas le cas. L'empereur a ensuite publié le tristement célèbre décret noir imposant la peine de mort pour tous les Juaristas armés capturés. Il n'y aurait pas de cour martiale ni de grâce de l'empereur. En quelques jours, deux généraux juaristes furent capturés et fusillés. Ce décret, cependant, devait conduire à la mort de l'empereur. Les Français, cependant, ont eu du mal à pacifier le pays en raison de la guérilla et les Français étaient détestés dans une grande partie du pays pour leurs actions de contre-guérilla drastiques.

Soutien américain à Juarez et offre confédérée

Juarez s'est rendu compte qu'il avait besoin de plus de soutien et a demandé l'aide de l'administration Lincoln, qui n'avait jamais reconnu le gouvernement de Maximilien. Après la chute de la Confédération, le secrétaire d'État Seward a commencé à faire pression sur Napoléon III et a permis aux juaristes d'acheter des armes aux États-Unis. Trois mille vétérans de l'Union ont rejoint l'armée juariste et la côte mexicaine a été bloquée. Le général Grant ordonna 42 000 hommes sous Sheridan à Brownsville, de l'autre côté de la rivière de l'armée impériale sous le commandement de Tomas Mejia et il semblait que les États-Unis envahiraient le Mexique au nom des Juaristas, mais rien n'en sortit.

Après la chute de la Confédération, le général Joseph Shelby et ses hommes se dirigent vers le sud du Mexique pour offrir leurs services à l'empereur Maximilien, qui refuse d'accepter les ex-confédérés dans ses forces armées. Cependant, l'empereur leur a accordé des terres pour une colonie américaine au Mexique.

Napoléon retire ses troupes, l'impératrice plaide

Fort de ces considérations et de la montée en puissance de la Prusse, Napoléon commença à retirer ses troupes à la fin de 1866 et exhorta Maximilien à abdiquer. Cela a laissé Maximilien dans une position dangereuse et a envisagé d'abdiquer son trône, mais sa femme, disant qu'il devait maintenir la dignité des Habsbourg, l'a dissuadé. Elle se rendrait elle-même en Europe pour parler avec Napoléon et le pape, mais en vain et subit plus tard un effondrement émotionnel. Pendant le reste de sa vie (1867-1927), elle se croyait toujours l'impératrice des Mexicains.

Exécution de Maximilien et des généraux Miguel Miramon

et Tomas Mejia, Hebdomadaire de Harper

Chute de l'empereur

Juarez et son armée ont pris l'offensive au printemps de 1866. Pendant l'été, les républicains ont capturé Saltillo, Monterey, Tampico, Durango et plus tard dans l'année Guadalajara et Oaxaca. La fin est venue dans la ville de Querétaro où les dernières troupes françaises au Mexique marchaient vers Veracruz pour quitter le Mexique sous le maréchal Bazaine, qui a exhorté l'empereur à le rejoindre. Le dernier soldat français est parti le 16 mars. Portirio Diaz, qui a échappé à ses ravisseurs après la chute d'Oaxaca, a pris le commandement de l'armée de l'Est et a vaincu une armée conservatrice à l'extérieur de Mexico et mis la capitale en état de siège.

L'empereur est trahi

Maximilien prit le commandement de quelques milliers de troupes impériales mexicaines mais fut encerclé par une armée républicaine quatre fois plus forte. La bataille commença le 19 février 1867 et les défenseurs tinrent les républicains pendant près de cent jours. Le 11 mai il décida de tenter une fuite à travers les lignes ennemies. Cependant, le 15 mai 1867, avant de pouvoir exécuter ce plan, un membre de la cavalerie impériale trahit l'empereur et ouvrit une porte aux assiégeants et Maximilien fut capturé, avec Miramon et Mejia.

Raisons de l'exécution de l'empereur

Juarez a décidé que l'empereur serait jugé par une cour martiale, et le décret de mort de l'empereur de 1865 qui avait exécuté tant de personnes laissait peu de place à la compassion. Il a également été estimé que Maximilien pourrait revenir et ferait paraître le nouveau gouvernement faible. Il était également populaire et même vénéré par une partie de la population mexicaine et on craignait qu'ils ne se rallient autour de lui à l'avenir. Il a été exécuté par un peloton d'exécution le 19 juin 1867 sur la colline des cloches (Cerro de las Campanas) avec ses généraux Miguel Miraman et Toms Mejia. Deux jours plus tard, Diaz a pris Mexico aux mains des armées conservatrices.

Plus de 50 000 Mexicains ont perdu la vie en combattant les Français et le pays a été dévasté après une décennie de guerre. Cependant, ce fut une justification pour les républicains et la Constitution de 1867, le pouvoir de l'église et des conservateurs fut brisé et un sentiment de nationalisme mexicain commença à grandir. Il introduisit également les idées, la mode et la culture françaises au Mexique. Le libéralisme est devenu associé à l'indépendance vis-à-vis de l'agression étrangère. Cependant, l'absence d'une autorité centrale pendant si longtemps a accru le régionalisme et le banditisme qui conduiraient à de futurs conflits intérieurs.

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A cette date de 1867, un peloton d'exécution désabuse un héritier des Habsbourg de ses prétentions au trône du Mexique.

Un peu fou, un peu libéral, et fatalement à court de bon sens, Ferdinand Maximilian Joseph* a quitté la vie facile dans son palais de rêve encore en construction à l'extérieur de Trieste pour un titre exalté qui signifiait vraiment jouer au catspaw pour Napoléon III&# 8216s accaparement des terres mexicaines.

(Pour apaiser les affres de l'aventurisme impérial sur notre héros à la tête tendre, Maximilian avait été "invité" à assumer le trône mexicain par une convention triée sur le volet pour le faire.)

Là, l'empereur fantoche avec la cuillère d'argent dans la bouche se retrouve en guerre civile contre le paysan amérindien de l'école des coups durs : Benito Juarez, l'un des grands hommes d'État libéraux du Mexique.

Alors que le vent tournait en faveur de Juarez et des libéraux, et que l'attention de Napoléon se concentrait de plus en plus sur des problèmes plus proches de chez eux, les Français jetaient l'éponge.

Mais Maximilian avait trop d'honneur ou trop peu de bon sens pour tenir compte du conseil de son patron de sortir alors que c'était bon de tenir le coup avec «son peuple», il a été capturé en mai 1867.

Juarez désireux de donner à tous les futurs nobles européens ennuyés une seconde réflexion sur l'obstruction du Nouveau Monde, Maximilian n'a pas eu de quartier. **

Alors que Louis Napoléon anime une exposition universelle de l'autre côté de la planète, Maximilian est abattu avec deux de ses généraux, Miguel Miramon et Tomas Mejia.

La veuve de Maximilian, Charlotte — “Carlota”, en essayant de se fondre avec ses sujets adoptifs — est tombée dans une folie de longue durée dans le Vieux Monde, mais la rumeur dit qu'elle est née avec l'un des Maximilian’s Officiers français un enfant illégitime qui allait devenir un tristement célèbre collaborateur de Vichy.

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A cette date de 1824, l'officier mexicain qui s'était fait empereur fut fusillé au village de Padilla.

Le sens militaire d'Iturbide l'a conduit à travers une ascension fulgurante au service de ce qui était alors la Nouvelle-Espagne.

Iturbide a rejeté une offre initiale de général du leader indépendantiste Hidalgo en faveur de passer les années 1810 à écraser habilement l'insurrection.

Dans un étrange coup du sort, cependant, ce serait Iturbide qui cimenterait lui-même l'indépendance du Mexique.

En route pour tenter d'en finir avec le dernier grand chef rebelle, Vicente Guerrero, Iturbide a eu vent de la récente révolte libérale del Riego dans la mère patrie*, qui avait déclenché la guerre civile en Espagne.

Pour le général royaliste conservateur, héritier lui-même d'une noble lignée basque, l'effondrement potentiel de l'autorité des Bourbons en Espagne faisait planer le spectre effrayant d'un bouleversement social.

Tout le travail d'Iturbide à tuer des guérilleros pour le bien de l'ordre public pourrait échouer si la monarchie espagnole s'effondrait ou cessait de projeter sa puissance à l'étranger - et alors qui savait ce qui émergerait du vide de pouvoir qui en résulterait au Mexique ?

Iturbide a donc conclu un accord avec Guerrero pour mener à bien la guerre d'indépendance du Mexique en se séparant de Madrid sur une base essentiellement conservatrice - une rupture politique sans révolution sociale. Le Mexique indépendant serait gentil avec les Espagnols qui y vivent déjà, garderait le catholicisme comme religion officielle de l'État et se doterait d'une monarchie constitutionnelle pour s'isoler des résultats aléatoires de la politique continentale de l'autre côté de l'océan.

Et quand Iturbide est entré dans la ville de Mexico et a rencontré une foule implorant commodément lui pour prendre le trône, eh bien, qui était-il pour leur refuser ?

Et c'est ainsi qu'Iturbide est passé en douceur du fléau de la révolution à son homme à cheval**, brisant immédiatement la coalition qui l'a porté au pouvoir.

Contrairement à cette vision allégorique du couronnement d'Iturbide, il s'est couronné à la manière de Bonaparte.

Quelques mois seulement après son couronnement en juillet 1822, Iturbide ferma le Congrès et commença à arrêter l'opposition. Pendant ce temps, Ferdinand VII était sorti de la mêlée espagnole comme le vainqueur (momentané), laissant ses anciens sujets parvenus sans soutien international.

Un général que l'empereur fraîchement créé avait lui-même promu, un certain Antonio Lopez de Santa Anna — oui, le gars d'Alamo — a déclaré contre Iturbide à la fin de 1822, et au printemps suivant, Agustin I était un Européen exilé, dans la position paradoxale de toucher une pension du Mexique alors qu'il était aussi officiellement considéré comme un traître et un hors-la-loi.

En Toscane puis en Angleterre, Iturbide a publié une justification autobiographique — Déclaration de certains des principaux événements de la vie publique d'Agustín de Iturbide "

Fondée sur la vaine gloire, cette expédition était vouée au fiasco dans les cinq jours après avoir touché le sol mexicain, Iturbide faisait la sérénade d'un peloton d'exécution avec les derniers mots, « Mexicains ! Je meurs avec honneur, non en traître, ne laissez pas cette tache sur mes enfants et mon héritage. Je ne suis pas un traître, non. Apparemment, ils étaient sérieux au sujet de cette injonction de ne jamais revenir.

À Mexico, revivez des moments plus heureux pour notre sujet de la journée au Palais d'Iturbide où il s'est brièvement maintenu dans le violet.

Et réfléchissez à deux fois avant de vous nommer Empereur du Mexique, puisque la seule autre personne à revendiquer ce titre aussi a terminé son règne devant un peloton d'exécution.

* Ironiquement, c'était un corps de soldats rassemblés pour une reconquista des possessions du Nouveau Monde de l'indépendance de l'Espagne qui ont permis à del Riego de se révolter.

** Iturbide a fait une pause dans les bonnes grâces de la révolution juste assez longtemps pour concevoir le drapeau mexicain.

1821-1935 (Empire mexicain)

L'origine de l'idée de l'indépendance mexicaine est venue avec le Père Hidalgo le 6 septembre 1810 lorsqu'il a prononcé le Cri de Dolores. Les colons espagnols ont exécuté Hidalgo, mais le pays s'est rebellé. Les premiers rebelles ont eu des problèmes et ont subi de nombreuses défaites. Finally, Agustin de Iturbide, a Creole officer joined the rebellion, and in 1821 Mexico gained its independence as an independent monarchy. Agustin de Iturbide, to whom the country owes its freedom, wanted a European monarch to rule Mexico. He turned to the defeated King of Spain, Ferdinand. However, Ferdinand refused and finally, Iturbide proclaimed himself Emperor Agustin I in 1822.

The Early Reign of Agustin I

Excerpt from: Founding the State 1822-1855, Mexico City, 1996

Emperor Agustin I, a firm conservator and believer of the divine right of kings, ruled as an absolute monarch for the first two years of his reign (1822-1823). After a failed military coup in March 1823, Agustin I's position was in danger. He turned to Valentin Gomez Farias, his advisor. He decided to re-establish the dissolved Congress and write a constitution. In 1824, he drafted the Constitution of 1824, which established a Congress and assured rights such as freedom of worship. The constitution, however, did not mention freedom of speech and press. The constitution tried to establish a democracy, but in practice, Iturbide retained final power.

Excerpt from: Early Riots in Mexico, Richmond, CSA, 1956

In 1825, after high inflation of the Peso and food shortages, the province of Texas and Chihuahua rose in revolt. Soon, other provinces joined the rebellion and held hostage government employees in the capital and in other cities. Emperor Agustin I's troops were called in to restore order. In June 1826, Imperial troops met with the rebels in Guadalajara. Rebel troops, led by Republican Guadalupe Victoria were defeated and forced to retreat back towards their positions in Monterrey and Chihuahua. Finally, in October 1826, Emperor Agustin I ended the rebellion by lowering food prices, demanding new farms to be built, and re-evaluating the Peso as the New Peso. The rebels were pardoned, except for leader Guadalupe Victoria who was executed.

Excerpt from: Relations between the USA and Mexico, Philadelphia USA, 1979

After independence in 1821, the USA was the first country to recognize Mexico. Emperor Agustin I entertained friendly relations with the White House until the US moved 200,000 settlers into Texas illegally in 1832. Mexico denounced the action and sent troops to Texas. The 200,000 settlers were forced out and relations with the US deteriorated. The US insisted that Texas be de-militarized and open to colonization. Agustin I refused and started to build up the army. At the same time, Emperor Agustin I received the support of military general Antonio Lopez de Santa Anna, who was convinced of the empire's power during the rebellion. With Santa Anna in place as General and Minister of Defense and War, Agustin I could consider himself ready for war.

Excerpt from: Reforms of Agustin Iturbide, Mexico City, 2002

With a strong military, and the people under his iron fist, Agustin I insisted on reforms, to keep power. In 1828, he reformed the education system and opened male and female schools in every district. He incited people to go to school and educate themselves. In 1830, he created hospitals in major cities, and hired European and American doctors. In 1835, he reformed the social classes and allowed every Mexican to hold office. This move, popular among peasants, was unpopular among fellow Creoles, who controlled the government. In 1837, he created a central bank in Mexico, in 1838, he created a regular police and security service, and finally in 1840, he launched a plan leading to industrialization of the cities, and the construction of better roads, on the model of the US.

War with the United States

Excerpt from: La Guerre Mexicaine, Paris, FR, 1998

Meanwhile, tensions between the US and Mexico rose. American troops in present-day Colorado crossed into Mexican territory in 1844 and established their positions there. Mexico moved a contingent of 600 men to occupy Fort Jefferson. On May 19, 1844, both sides met near the fort, and the Americans forced the Mexicans in retreat. Agustin I declared war on the United States on July 23, 1844. Soon afterwards, two whole armies from northern Mexico and California were sent to the front. The war caught the US unready for full-scale war. In November 1844, Mexican forces advanced through Colorado, defeating US forces in Denver. Meanwhile, the newly created Mexican Navy gunboats headed for Florida's west coast were US troops were staging naval attacks on Mexico. The gunboats were able to land Mexican troops in St. Petersburg and Tampa. With only a few troops in the area, by January 1845, the whole of Florida was conquered. Soon, the Indian Territory and Colorado fell, and in March 1845, Mexican troops launched a final large-scale attack on New Orleans from Texas. The Mexican Northern Army was able to defeat the much larger US 5th Army in a matter of hours. The defeated Americans fled Louisiana and demanded a ceasefire. A ceasefire agreement was reached on July 28, 1845.

The Treaty of Guadalupe-Hidalgo

Excerpt from: Building an Empire, Mexico City, 2005

The American and Mexican delegates met in Mexico City on June 17, 1846, almost one year after the ceasefire. The American delegates expected no major territory loss, but the Mexican delegation demanded 15,000 New Pesos and the territory of Florida, Louisiana, Nebraska, Colorado, and the Indian Territory. In return, they promised to let American settlers settle Mexican territory (esp. Texas). The Americans refused at first, but the Mexicans threatened to end the ceasefire. The Americans were forced, reluctantly, to agree to these terms. In 1848, an Imperial Decree ended the reparations.

Excerpt from: Expansion and Industrialization of Mexico, Philadelphia, USA, 1997

Before 1848, the territory of California and most of Mexico's northern territories were sparsely inhabited. This changed drastically, at least for California, in 1848. In 1848, near Sacramento, gold was discovered. The news of gold reached US and Mexican settlers a few days later, and soon, California, and San Francisco were booming. Thousands of new settlers arrived in California to make their share of money. Settlers set up their houses and families and made California their home. Soon, in 1852, the Mormon sect, a Puritan Christian group arrived in Utah Province and founded Salt Lake City. They called their new home Deseret. In 1855, they received the government's authorization to control Utah's provincial government.

The Emergence of Colombia and the Central American Conflict

Excerpt from: The Central American Spectrum 1850-1870, Mexico City, 1999

During the 1830's, newly freed Colombia united with Venezuela, Peru, and Ecuador in union. The country soon grew in importance, and in 1843, it took over Panama. Mexico was alarmed by the annexation of Panama, but failed to respond due to US threats in the north. In 1847, after the end of the American War, Colombia invaded Costa Rica, a state in the crumbling Central American Confederation. After the fall of Costa Rica and El Salvador, Mexico and Britain united to stop the Colombian threat to South America. In October 1850, Colombia invaded Guatemala. Mexico mobilized, and on November 17, 1850, Mexico declared war on Colombia to support Guatemala. Soon, Mexican troops met their equals, the strong Colombian army. Mexican troops were able to hold the upper hand at first, but the arrival of more Colombian troops meant the end of that. By January 1851, both sides were at a stalemate around Guatemala City. Trenches were dug by both sides, and neither could hold the upper hand. It was not until 1 year later, in January 1852, that the stalemate ended. By then, both sides had lost thousands of valuable men, and won almost no territory. In January 1852, the destruction of the Colombian fleet by the Mexican Navy. In February 1852, Colombia announced that it had signed a peace with the Central American Confederation. In March, both countries joined in an alliance, and Mexico was forced to attack Central American troops. However, Mexico captured Guatemala in June and El Salvador in November. By January 1853, the defeated Colombians agreed to a ceasefire.

The Treaty of Guatemala City

Excerpt from: Building an Empire, Mexico City, 2005

After the end of the conflict with Colombia, both sides agreed to talks. Talks were opened in Guatemala City in 1854. Mexico annexed the whole of the Confederation, while Colombia would retain Panama. Both sides agreed to joint war-guilt and thus, no reparations were enforced. At first, Mexico administered Central America as a colony, but in 1857, after a plebiscite, Central America was divided in provinces.

The Death of Emperor Agustin I

Excerpt from: The First Emperor's Last Days, Mexico City, 1969

Just after a victory parade in December 1854, Emperor Agustin I was taken to bed where doctors treated a "bad cold". The nation stood silent for one month while the doctors tried to treat the ailing, 72 year old emperor. On January 6th 1855, Agustin I died of what today is considered a cancer. His oldest son, Prince Imperial Agustin de Iturbide was crowned emperor of Mexico in Mexico City Cathedral on January 15, 1855.

Emperor Agustin II First Year's

Excerpt from: Agustin II and the Quiet Years, Mexico City, 1999

Agustin II inherited from his father a peaceful, calm country. In the north, California, and Utah were in full expansion, and in the south, farms were prospering in the newly-acquired territories of Central America. In Mexico, meanwhile, the un-regular Congress decided to meet every week and imposed on Emperor Agustin II a right to veto Imperial Laws and Decrees. Congress received that right, but Agustin II was smart enough to keep his right to override Congressional vetoes.

New Troubles with the United States

Excerpt from: Mexican-US Relations 1821-1950, Richmond, CSA, 1996

In 1857, the United States demanded from the Mexican governor of Louisiana Sebastián Lerdo de Tejada the opening of the port of New Orleans to only American ships. In return, the Americans offered 10 million$, de Tejada, under orders of the Congress, refused to let the Americans control the port of New Orleans and decided to keep the right to open and close the port at any time. In 1858, the Americans made the same demand once again, and this time, de Tejada, guaranteed to the Americans that he would keep the port open for an undetermined number of years. In the north, in the American Oregon Territory, American troops were being stationed on the Mexican border. When Prime Minister Miguel Miramon heard of the American troops, he decided to personally lead an army to California to occupy American positions. In 1860, he reached the front and demanded the Americans retreat. Four hours later, the Americans left the border.

Excerpt from: Mexico, the CSA, and the USA, New Orleans, 1999

In 1861, 10 southern states seceded from the USA. These slave states formed the Confederate States of America. Mexico, a abolitionist country, refused to recognize the CSA and supported the Union indirectly for the first year. In 1862, southern rebels crossed into Louisiana and met Mexican troops. Mexico declared war in support of the US, and closed Louisiana to all foreign imports to the CSA. Mexican troops under General Antonio Lopez de Santa Anna inflicted several defeats on southern troops in Louisiana. By January 1863, Mexican marines and troops had gone upstream along the Mississippi to Kentucky, a rebel stronghold. Mexican troops landed in Kentucky and marched through the country, burning Confederate positions and storehouses. However, the US was defeated on all fronts, and on May 7th 1864, the US surrendered. Mexico agreed to a ceasefire with the CSA, but refused to participate in any treaty of peace. In 1865, when the CSA was recognized by the USA, Mexico agreed to retreat back to New Orleans. The port remained closed until 1902 to CSA goods.

The Death of Emperor Agustin II

Excerpt from: Agustin II and the Quiet Years, Mexico City, 1999

Following the US Civil War, Emperor Agustin II was starting to feel weaker than usual, and on May 6th 1866, he decided to lie in bed. The next morning, he was dead, victim of what is believed to be a severe heart attack. The Prince Imperial, Agustin de Iturbide, was crowned emperor two weeks later and assumed the Cobalt Throne of Mexico.

Troubles in the North

Excerpt from: The Foundation of Cascadia, Portland, Cascadia, 1998

After the Civil War, the US resumed control over Oregon and Washington Territory. However, by that time, several inhabitants of these regions formed the Cascadian National Congress in 1869 and demanded independence from the USA. This was refused, and the CNC took up armed rebellion against the United States. The CNC contacted Mexico and asked Mexican aid to gain Cascadian independence. In 1870, Mexico sent troops to protect Mexican territory, in practice, however, these troops smuggled arms to the CNC rebels. In July 1870, Mexico officially demanded Cascadian independence and threatened another invasion of the United States if it was refused. The US agreed and sold the land to Mexico for 15 million$. Two days later, Mexico granted Oregon and Washington independence. The US sold the land to Mexico to avoid losing its pride once again in another defeat. Two years later, in 1872, Cascadia assumed control over British Columbia.

Excerpt from: Agustin III's Reforms, London, UK, 1917

After Agustin III assumed the throne in Mexico, he set his mind on reforming both the corrupt Congress and his country. He dissolved the corrupt sessions of Congress, and demanded a new constitution. In 1868, the Emperor and his group of Imperial Advisors met and drafted a new constitution for Mexico. As part of the 1868 Constitution, drastic changes were enforced such as a set schedule for Congress, freedom of speech, press, peaceful assembly, and the right to form political parties. Another part called for elections every 5 years for Congress, and repealed the Emperor's right to override Congressional vetoes. In 1869, the final draft was signed and sent to the separate provincial governments. Almost all of the governments approved the Constitution by 1870. In 1871, the first political groups were formed, the National Action Party (PAN) and the Movement for Mexico (MPM). In 1875, the first elections were held for Congress and resulted in a PAN-dominated Congress.

Tensions with the CSA

Excerpt from: Mexico and CSA: A Story of Hatred, Mexico City, 2004

Meanwhile, the Confederacy positioned troops along the border with Louisiana. In 1872, Mexico sent three gunboats up the Mississippi and 500,000 armed troops to the CS border. On May 17, 1872, CS and Mexican soldiers met near the border. CS artillery opened fire on the Mexicans. However, Mexican commander General Porfirio Diaz made a smart move. He sent his infantry charging, only to retreat back and form a square. The Southerners charged with light cavalry and were massacred under the Mexican guns. After the battle, the Southerners retreated back across the border. The Mexicans, under Imperial order stopped following the CS troops.

Excerpt from: Mexico in the World, Mexico City, 1985

With the US defeated in the South and the North, and Colombia struggling to hold on to Panama and Peru, Mexico was the strongest power in the continent, challenged only by the weak CSA. However, in 1880, Mexican Prime Minister Porfirio Diaz met the CS Congress and they agreed to a status-quo and normalization of relations. This move was highly unpopular among veteran circles and led in 1882 to the resignation of Diaz.

Excerpt from: Industrialization of Mexico, Richmond, CSA, 1987

Although a world power, Mexico was still a very rural country, with very bad roads and railways. In 1883, the new Prime Minister Manuel Gonzales started the New Economic Plan, which led to the opening of over 200 factories nationwide. Many farmers were hostile to this plan, and it was only through bribery that the government moved them to factories. By 1899, 36% of the workforce worked in the industrial sector. In 1924, 67% worked in the industrial sector. In 1889, Prime Minister Manuel Gonzales, raised a fund to help the construction of roads, canals, and railways. The first priority was a system of roads. Construction went quickly, in 1891, the first smooth road between Mexico City and El Paso was opened. In 1892, the road linking Guatemala City with Los Angeles via Mexico City was opened. In 1895, the first railway part of the planned Trans-American Railway (San Jose, Costa Rica to San Francisco, California) between San Jose and Guatemala City opened. In 1898, the Guatemala City-Ciudad Juarez track was opened. The railway was finished in 1903.

Excerpt from: The Road to War: North America, Los Angeles, 2005

In order to maintain its position in the world, Mexico needed to keep a strong, modern army. In 1895, PM Gonzales signed a plan allowing for the introduction of modern rifles into army units. In 1898, hot-air observation balloons were introduced, and in 1901, a khaki camouflage dress was introduced, replacing the blue tunics. In the navy, a massive ship building project was begun to replace the gunboats, still the Navy's mainstay. Modern dreadnoughts replaced old gunboats in 1907 and in 1910, the navy counted 10 modern warships, 5 destroyers, and 2 cruisers.

The Prime Ministerial Bill of 1900

Excerpt from: The Encyclopedia of Mexico, Mexico City, 2006

Even after the Constitution of 1869, the Prime Minister, who joined a political group, was still chosen by the Emperor. However, at the request of Prime Minister Francisco Leon de la Barra, and Emperor Agustin III, the Prime Minister was to be the head of the majority party after each term-election. The Emperor signed the Prime Ministerial Bill on August 4th 1900. The November 1900 elections were the first held under this law and resulted in MPM leader de la Barra keeping power. In 1905, PAN leader Francisco Madero gained power.

A Trial for Democracy

Excerpt from: Struggles with Democracy in Mexico, Richmond, CSA, 1994

The greatest test to the real power of the Constitution came in 1904, when the governor of Morelos, Emiliano Zapata was arrested by the Mexican Army for denouncing the Emperor and insulting publicly the government. He was brought in trial in Mexico City in front of the Provincial Court. The Provincial Court demanded the trial be moved to the Imperial Supreme Court. The Chief Justice judged in favor of the government of Mexico. However, Emperor Agustin III used his power to reverse the court decisions and declared Zapata innocent under the constitution. He later assured his fellow citizens that the troops who arrested Zapata would "read the constitution over".

Excerpt from: The Encyclopedia of Mexico, Mexico City, 2006

After reforming many sectors, the Emperor and Prime Minister Madero launched a social aid and equality program in 1908. The program sought to reach out the poorer classes of the country. The government raised a fund-charity out of the tax money and distributed about 900,000 Mexican Pesos per year. However, in 1910, with the fall of Prime Minister Madero, the program was halted by the pro-upper-class Prime Minister Francisco S. Carvajal. Later, in 1915, Carvajal launched the popular program once again, but with no immediate success, since Mexico was at war, and jobs had been created in the defense sector.

Rise of Tensions in the Americas

Excerpt from: The Great War in the Americas. London, UK, 1998

Meanwhile in North America, two old rivals, the US and the CSA were taking the path to war once again. The US had built up its army in the years before the Great War, as did the CSA. In the north, the Republic of Cascadia still had a weak, third world army. However, the Empire of Mexico, south of Cascadia, had built up, along with Colombia, one of the world's strongest armies. Allied with Colombia's army, the two countries formed the strongest armed forces in the continent. In 1913, the US met CS troops near the US-CS border. The CS troops had been defeated by the Americans, and the CSA's government turned to Germany for military help. Alarmed by the new alliance, the US joined the Mexican-Colombian alliance and turned to France and the UK for military assistance. In 1914, the war broke out in Europe.

The Great War from 1914 to 1916

Excerpt from: The Great War in the Americas. London, UK, 1998

After the start of the war in Europe, the CSA joined the war on the German side soon, the US, Mexico, and the rest of the Allied Powers joined the war. Immediately, Mexican general Pancho Villa's "Pancho's Brigades of New Orleans", stationed in Louisiana, and sent his troops and gunboats up the Mississippi to CS Arkansas. Villa landed his brigades in southern Missouri, where the Army of Missouri was preparing military action, and Villa's Brigades A was sent to CS Mississippi. The A group marched quickly through the state, and finally met resistance from CS troops in Meridian. The Mexican troops pushed the southerners back towards Alabama, and crossed into Alabama. The Mexicans continued through northern Alabama towards Georgia. Meanwhile, Georgian irregulars met the Mexican troops in northern Georgia. In a 2-day battle, the Mexicans finally defeated the Georgians in Marietta (Cobb County, near Atlanta). The Mexicans continued towards the Atlantic coast, meeting only minor resistance. This was because the CS was preoccupied fighting the US in the north. However, the Mexicans soon met another Georgian militia unit, this time in the small town of Waynesboro. The Mexicans used General Diaz's classic "1872 Retreat Strategy" to easily win the battle. The reduced A group now marched to Savannah, Georgia, near the Atlantic coastline. Meanwhile, the defeated militia from Waynesboro marched south under government orders to conquer northern and western Florida. The Mexicans reported the troop movement and met the Georgians in the small town of White Springs, Florida in January 1916. The Georgians fled upon seeing the Mexican army, not the Florida militia. The whole remaining militia of Georgia was captured. Meanwhile, Pancho Villa's B group, stationed in St. Louis since late 1914, were called up by the High War Command and ordered to move west, to meet a joint American-Mexican invasion of Missouri. The group left in February 1916, and met a minor CSA brigade in Moberly. The B group continued towards Chillicothe, where the CS troops had rallied after the Moberly defeat. The Mexican and American armies met on March 7th 1916, and the battle began on March 8th. The Americans lost most of their men to the CS big guns, but the Mexicans used the clever 1872 Retreat Strategy again and defeated charge after charge of Confederate troops. On March 10th, the southerners surrendered. Although the Allied had won in Missouri, the Americans were losing tons of men in West Virginia under the CS guns. An important army general of the US, General Pershing staged a coup on July 4th 1916 and overthrew the pro-war government. Pershing declared himself President and declared a ceasefire with the CSA, valid until the end of the war.

The Great War from 1916 to 1918

Excerpt from: The Great War in the Americas. London, UK, 1998

The sudden change of sides of the US caught the Mexicans by surprise. However, the Southerners were deadlocked in the north, and too preoccupied to counterattack in the "Deep South". The American ceasefire did not end the war, as the people had hoped, and by July 10th, the US was back in the war, this time allied with the CSA against Mexico and Britain. The Mexican troops in Georgia and Missouri were sent through Tennessee and Kentucky to launch an attack on Indiana and Ohio. Meanwhile, Villa's Brigades attacked Illinois. On the Home Front in the US, New England rose in revolt in mid-July 1916 and declared its independence on the 18th of August 1916. It later joined the allied powers. In Iowa, the state seceded and formed a Republic in August 1916. Mexican troops progressed like lightning through Illinois, Indiana, and Ohio. In the north, the British and Canadians staged Operation BEAVER, the invasion of the US in Detroit, Niagara, and New York State. The British met a few pockets of military resistance, but were able to capture most of Michigan, Pennsylvania, and New York by January 1917. The Mexicans advanced through southern Pennsylvania and met the British troops in northern Pennsylvania. The Allied troops marched south along the Delaware River to Philadelphia, the US capital. Philadelphia fell in early December 1917 and General Pershing's government the next day. During this time, Mexican troops in South Carolina and Mexican ships in Florida marched and sailed up north along the Atlantic Coast. North Carolina fell by March 1917. The attack halted until the army received orders to capture Richmond. Finally, in September 1918, the huge, reformed Mexican army marched north, aided by air squadrons and a large British-Mexican fleet. The ships captured the CS Naval Base in Norfolk, Virginia and British and Mexican marines joined the regular troops 25km from Richmond. CS troops rushed to Richmond, but it was too late. The Mexican snake and eagle floated over the Confederate White House on October 16th 1918. The troops continued north to the old US capital in Washington DC, now home of the government of the CSA after Richmond's fall. The Mexican troops rushed through Washington DC, and captured the Washington DC White House. The CSA surrendered on November 1st 1918.

The Treaty of Versailles and the Americas

Excerpt from: The Great War in the Americas. London, UK, 1998

Meanwhile, the war in Europe ended a few days after the war in America. The following year, 1919, Allied leaders met to sign the treaty of Versailles. Mexico's Prime Minister Venustiano Carranza traveled to France for the historic treaty. As part of the treaty, Britain, Colombia, and Mexico were awarded occupation zones in the defeated CSA and USA. In the US, Pershing's military government was overthrown and replaced by ex-President Taft for a few months. Taft's government was forced to live under Mexican occupation, as well as Woodrow Wilson's new Confederate government. Mexican troops remaining in states such as Georgia, Alabama or Missouri remained there. This move of keeping soldiers after the war on captured territory was very unpopular and in 1920, Carranza was taken out of office and replaced by Adolfo de la Huerta, who ended Mexican military occupation. However, reparation payments were enforced.

Excerpt from: The Great War in the Americas. London, UK, 1998

For most of the 1920s, Mexico enjoyed prosperity and democracy. The victory in the war raised confidence in the Emperor, the army, and the government. In the 1919-victory parade, the crowds numbering over 20,000 cheered the emperor and General Pancho Villa, who were responsible for a large part of the victory in the war. Pancho Villa became a national hero and was later assigned an important post in the government. The war had created jobs, including a few in the new aircraft industry. The newly-employed workers kept on their jobs and went on to build almost all of Mexico’s military supplies. The war also helped transportation. Some of the new riverboats built for action in the Mississippi with Pancho Villa’s brigades were transformed into regular river services boats inside the Empire. Roads built for goods and troop transport in Texas, Louisiana, and Florida were enlarged and became part of the nation’s first highway system. Mexico after the war was enjoying life.

Excerpt from: The Encyclopedia of Mexico, Mexico City, 2006

In July 1925, the Emperor, Agustin III was taken to bed, sick. The nation’s best doctors tried to save the sick emperor, but it was too late. On July 23rd 1925, Agustin III “the Great” died in Mexico City. The nation went into a month long period of mourning. The flag was lowered to half-mast, and a great burial was held in the capital. Other nations also observed the death of Mexico’s greatest emperor. The American and Colombian governments declared a 1-day period of mourning, and both of the above countries flags were flown at half-mast. His oldest daughter, Maria Josepha Sophia was crowned Empress.

Excerpt from: The Encyclopedia of Mexico, Mexico City, 2006

Taking advantage of the weakness of the new imperial power, General Alvaro Obregon overthrew the Congress of PM Adolfo de la Huerta and declared himself Prime Minister in 1926. He forced Empress Maria Josepha I to sign a new constitution, making him PM for life. During his 2-year rule, he became a dictator, outlawing the freedoms in the constitution, and forced the Empress to remain a figurehead. He considered an invasion of Panama and Colombia, but died before he could carry it out. After his death in 1928, Empress Maria Josepha forced his successors to resign and she restored the freedoms of the constitution.

Excerpt from: The Encyclopedia of Mexico, Mexico City, 2006

In 1929, the stock market in Mexico City crashed, and many stockowners lost everything they had gained overnight. The country, like the rest of the world entered a huge economic depression. Many jobs were lost and people were forced to sell their cars, and homes. However, the Prime Minister, Pascual Ortiz Rubio, created the Mexican Solution economic program. In 1932, many people were employed once more in public jobs either in the government, military, or in the national development sectors. Roads were built, and by 1933, the country had developed an important highway system, as well as numerous aerodromes. By 1935, the economic slum was over, but the economy of the country was still feeble and struggling.