Combat de Zell, 14 septembre 1796

Combat de Zell, 14 septembre 1796


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Combat de Zell, 14 septembre 1796

Le combat de Zell (14 septembre 1796) a vu la défaite d'une attaque autrichienne mal planifiée contre l'armée du général Moreau du Rhin-et-Moselle juste avant le début de sa retraite à travers le sud de l'Allemagne à l'automne 1796.

Au cours de l'été 1796, les Français avaient mené une invasion de l'Allemagne sur deux fronts. Moreau, aux commandes de la branche sud, atteignit finalement la périphérie de Munich et repoussa lentement ses adversaires autrichiens. Plus au nord, le général Jourdan s'avança également très loin dans le sud de l'Allemagne, mais tandis que Moreau remportait une victoire à Friedberg (24 août), Jourdan subissait une défaite aux mains de l'archiduc Charles à Amberg, à 80 milles au nord.

Moreau continua d'avancer jusqu'à la fin du mois de septembre, mais lorsque les journaux allemands rapportèrent la nouvelle d'Amberg, il commença à ralentir. Lorsque la nouvelle fut confirmée, Moreau décida qu'il devait faire quelque chose pour aider Jourdan.

Moreau décide d'envoyer Desaix, avec toute l'aile gauche de son armée, à Nuremberg où il espère qu'il trouvera Jourdan. Le 10 septembre, Desaix franchit le Danube à Neubourg et entame une courte marche vers le nord. À ce stade, Jourdan était loin à l'ouest. Le 3 septembre, il avait subi une deuxième défaite à Würzburg, à soixante milles à l'ouest de Nuremberg, et le 10 septembre, il approchait de Francfort-sur-le-Main. La marche de Desaix ne pouvait qu'échouer.

Moreau déploya si mal le reste de son armée que n'importe quel général compétent aurait pu lui infliger une cuisante défaite. La majeure partie de son centre s'est déplacée à Unterstadt, sur la rive nord du Danube près de Neubourg. Delmas a été laissé sur la rive sud à Zell avec six bataillons pour garder le passage de la rivière. Le général Ferino, qui fut envoyé pour garder les ponts sur le Lech, prit position à Friedberg, juste à l'est d'Augsbourg, entre les rivières Paar et Lech, à plus de vingt milles au sud-ouest de Neubourg.

Heureusement pour Moreau, Latour n'était pas un général particulièrement compétent. Face à un adversaire largement répandu, sa première pensée semble toujours avoir été de se disperser tout aussi mince. Au lieu de concentrer la totalité ou la majeure partie de son armée contre Ferino ou Moreau, il décida d'envoyer une seule division (Mercantin) pour attaquer les Français au Neubourg. Froelich fut envoyé à Landsberg, à vingt-cinq milles au sud d'Augsbourg sur le Lech. Nauendorf est envoyé sur la rive nord du Danube. Latour lui-même avança jusqu'à Schrobenhausen, à un peu moins de quinze milles au sud de Neubourg et vingt milles au nord-est d'Augsbourg.

Le 14 septembre, Mercantin attaque les six bataillons de Delmas sous couvert de brouillard. Les hommes de Delmas ont failli rompre. Delmas et Oudinot ont tous deux été blessés dans les combats, laissant la division sans commandant. Moreau se plaça à la tête de la division, mais si Latour avait attaqué en force, la position aurait été perdue. Au lieu de cela, les Français ont pu tenir assez longtemps pour que Saint-Cyr envoie des renforts de la rive nord, et finalement l'attaque autrichienne a été repoussée.

Les Autrichiens ont fait deux autres attaques sur la position française, qui se sont soldées par un échec. La troisième et dernière attaque s'est terminée lorsque la cavalerie autrichienne a éclaté et s'est enfuie à cinq milles à l'est de Lichtenau.

Bien que les Français aient vaincu l'attaque de Latour, Moreau savait maintenant que Jourdan se repliait sur le Rhin. Desaix a reçu l'ordre de marcher vers le Danube, retraversant la rive sud le 16 septembre. Moreau a alors commencé une lente retraite le long du Danube, espérant suivre le cours supérieur du fleuve jusqu'à la Forêt-Noire et le Rhin. Il est même assez confiant pour s'arrêter au sud d'Ulm, où il inflige une défaite à Latour (bataille de Biberach, 2 octobre 1796), mais cela donne à l'archiduc Charles le temps de se déplacer vers le sud après avoir forcé Jourdan à traverser le Rhin, et Moreau subit des défaites à Emmendingen (19 octobre 1796) et Schliengen (23 octobre 1796) sur le versant ouest de la Forêt-Noire avant de repasser le Rhin.

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Ordre des Jésuites établi

À Rome, la Compagnie de Jésus&# x2014une organisation missionnaire catholique romaine&# x2014reçoit sa charte du Pape Paul III. L'ordre des Jésuites a joué un rôle important dans la Contre-Réforme et a finalement réussi à convertir des millions de personnes dans le monde au catholicisme.

Le mouvement jésuite a été fondé par Ignatius de Loyola, un soldat espagnol devenu prêtre, en août 1534. Les premiers jésuites&# x2013Ignatius et six de ses étudiants&# x2013pris vœux de pauvreté et de chasteté et ont fait des plans pour travailler pour la conversion des musulmans. Si le voyage en Terre Sainte n'était pas possible, ils ont fait le vœu de s'offrir au pape pour un travail apostolique. Incapables de se rendre à Jérusalem à cause des guerres turques, ils se sont plutôt rendus à Rome pour rencontrer le pape et demander la permission de former un nouvel ordre religieux. En septembre 1540, le Pape Paul III a approuvé Ignace&# x2019 contour de la Compagnie de Jésus, et l'ordre des Jésuites est né.

Sous la direction charismatique d'Ignace&# x2019, la Compagnie de Jésus a grandi rapidement. Les missionnaires jésuites ont joué un rôle de premier plan dans la Contre-Réforme et ont reconquis de nombreux fidèles européens qui avaient été perdus à cause du protestantisme. Du vivant d'Ignace, des jésuites ont également été envoyés en Inde, au Brésil, dans la région du Congo et en Éthiopie. L'éducation était de la plus haute importance pour les jésuites, et à Rome Ignace a fondé le Collège romain (appelé plus tard l'Université grégorienne) et le Germanicum, une école pour les prêtres allemands. Les jésuites ont également dirigé plusieurs organisations caritatives, comme une pour les anciennes prostituées et une pour les juifs convertis. À la mort d'Ignace de Loyola en juillet 1556, il y avait plus de 1 000 prêtres jésuites.


Frères et sœurs

  • Catherine Lenz 1820-1820
  • Eva Lenz 1821-1827
  • Margaretha Lenz 1823-1882
  • Maria Lenz 1824-
  • Maria Lenz 1827-
  • Johann Lenz 1833-1834
  • Anna Margaretha Lenz 1835-

Demi-frères et sœurs

  • avec Johann Jakob Klinkner 1743-1781
    • Maria Magdalena Klinkner †1817
    • Matthias Klinkner 1772-1773
    • Johann Jakob Klinkner 1775-1781
    • Christian Klinkner 1778-

    Combat de Zell, 14 septembre 1796 - Histoire

    La période d'une nouvelle élection d'un citoyen pour administrer le gouvernement exécutif des États-Unis n'étant pas très éloignée, et le moment est réellement arrivé où vos pensées doivent être employées à désigner la personne qui doit être revêtue de cette importante confiance, il semble à moi propre, d'autant plus qu'il peut conduire à une expression plus distincte de la voix publique, que je devrais maintenant vous informer de la résolution que j'ai prise, de refuser d'être considéré parmi le nombre de ceux parmi lesquels un choix doit être fait .

    Je vous prie, en même temps, de me rendre justice d'être assuré que cette résolution n'a pas été prise sans un strict examen de toutes les considérations relevant du rapport qui lie un citoyen dévoué à sa patrie et qu'en retirant la soumission de service, que le silence dans ma situation pourrait impliquer, je ne suis influencé par aucune diminution de zèle pour votre intérêt futur, aucun manque de respect reconnaissant pour votre bonté passée, mais je suis soutenu par une pleine conviction que la démarche est compatible avec les deux.

    L'acceptation et le maintien jusqu'ici de l'office auquel vos suffrages m'ont appelé deux fois ont été un sacrifice uniforme d'inclination à l'opinion du devoir et à une déférence pour ce qui paraissait être votre désir. J'espérais constamment qu'il aurait été beaucoup plus tôt en mon pouvoir, conformément à des motifs que je n'étais pas libre de méconnaître, de revenir à cette retraite dont j'avais été tiré à contrecœur. La force de mon inclination à le faire, avant la dernière élection, avait même conduit à la préparation d'une adresse pour vous la déclarer, mais une réflexion mûre sur la position alors perplexe et critique de nos affaires avec les nations étrangères, et l'avis unanime de personnes ayant droit à ma confiance, m'a poussé à abandonner l'idée.

    Je me réjouis que l'état de vos préoccupations, tant extérieures qu'intérieures, ne rende plus la poursuite du penchant incompatible avec le sentiment du devoir ou de la bienséance, et suis persuadé, quelque partialité qu'on puisse garder pour mes services, que, dans les circonstances présentes de notre pays, vous ne désapprouverez pas ma détermination à prendre ma retraite.

    Les impressions avec lesquelles j'entrepris d'abord la dure confiance m'étaient expliquées à l'occasion. Dans l'exercice de cette fiducie, je dirai seulement que j'ai, avec de bonnes intentions, contribué à l'organisation et à l'administration du gouvernement des meilleurs efforts dont était capable un jugement très faillible. Non inconsciente d'emblée de l'infériorité de mes diplômes, l'expérience à mes propres yeux, peut-être plus encore aux yeux des autres, a renforcé les motifs de défiance envers moi-même et chaque jour le poids croissant des années m'exhorte de plus en plus que le l'ombre de la retraite m'est aussi nécessaire qu'elle sera la bienvenue. Convaincu que si des circonstances ont donné une valeur particulière à mes services, ils étaient temporaires, j'ai la consolation de croire que, si le choix et la prudence m'invitent à quitter la scène politique, le patriotisme ne l'interdit pas.

    En attendant le moment qui est destiné à terminer la carrière de ma vie publique, mes sentiments ne me permettent pas de suspendre la profonde reconnaissance de cette dette de reconnaissance que je dois à mon pays bien-aimé pour les nombreux honneurs qu'il m'a conférés. plus encore pour la confiance inébranlable avec laquelle il m'a soutenu et pour les occasions dont j'ai joui de là de manifester mon attachement inviolable, par des services fidèles et persévérants, quoique d'une utilité inégale à mon zèle. Si des bienfaits ont résulté pour notre pays de ces services, qu'on se souvienne toujours à votre éloge, et comme exemple instructif dans nos annales, que dans des circonstances où les passions, agitées de tous côtés, étaient susceptibles de tromper, au milieu des apparences quelquefois douteuses, les vicissitudes de la fortune souvent décourageantes, dans des situations où souvent l'insuccès a favorisé l'esprit de critique, la constance de votre appui était l'appui essentiel des efforts et la garantie des plans par lesquels ils s'effectuaient. Profondément pénétré de cette idée, je la porterai avec moi dans ma tombe, comme une forte incitation aux vœux incessants que le ciel vous continue les plus beaux gages de sa bienfaisance que votre union et votre affection fraternelle soient perpétuelles que la libre Constitution, qui est l'ouvrage de vos mains, peut être sacrément soutenu que son administration dans chaque département peut être empreinte de sagesse et de vertu qu'enfin, le bonheur du peuple de ces États, sous les auspices de la liberté, peut être complété par ainsi une conservation soigneuse et un usage si prudent de cette bénédiction qu'ils leur acquerront la gloire de la recommander aux applaudissements, à l'affection et à l'adoption de toute nation qui lui est encore étrangère.

    Ici, je devrais peut-être m'arrêter. Mais une sollicitude pour votre bien, qui ne peut finir qu'avec ma vie, et l'appréhension du danger, naturelle à cette sollicitude, me pressent, dans une occasion comme la présente, d'offrir à votre contemplation solennelle, et de recommander à votre fréquente revue , quelques sentiments qui sont le résultat de beaucoup de réflexions, d'observations non négligeables, et qui me paraissent essentiels à la permanence de votre félicité comme peuple. Ceux-ci vous seront offerts avec plus de liberté, car vous ne pouvez y voir que les avertissements désintéressés d'un ami qui se sépare, qui n'a peut-être aucun motif personnel de biaiser son conseil. Je ne peux pas non plus oublier, pour l'encourager, votre réception indulgente de mes sentiments à une occasion ancienne et non différente.

    Entrelacé comme l'amour de la liberté avec chaque ligament de votre cœur, aucune de mes recommandations n'est nécessaire pour fortifier ou confirmer l'attachement.

    L'unité de gouvernement qui vous constitue un seul peuple vous est aussi désormais chère. C'est justement ainsi, car c'est un pilier principal dans l'édifice de votre indépendance réelle, le soutien de votre tranquillité à l'intérieur, votre paix à l'extérieur de votre sécurité de votre prospérité de cette liberté même que vous chérissez si hautement. Mais comme il est facile de prévoir que, de différentes causes et de différentes parties, beaucoup de soins seront pris, beaucoup d'artifices employés pour affaiblir dans votre esprit la conviction de cette vérité car c'est le point de votre forteresse politique contre lequel les batteries de les ennemis internes et externes seront le plus constamment et activement (bien que souvent secrètement et insidieusement) dirigés, il est d'un moment infini que vous devriez estimer correctement l'immense valeur de votre union nationale pour votre bonheur collectif et individuel que vous devriez chérir un cordial, habituel , et un attachement inébranlable à lui s'habituer à penser et à parler d'elle comme du palladium de votre sécurité politique et de votre prospérité veillant à sa préservation avec une anxiété jalouse, écartant tout ce qui peut suggérer même un soupçon qu'elle peut de toute façon être abandonnée et fronçant les sourcils avec indignation la première aube de toute tentative d'aliéner une partie de notre pays du reste, ou d'affaiblir le sacré d liens qui relient désormais entre elles les différentes parties.

    Pour cela, vous disposez de toutes les incitations à la sympathie et à l'intérêt. Citoyens, par naissance ou par choix, d'un pays commun, ce pays a le droit de concentrer vos affections. Le nom d'Américain, qui vous appartient en votre qualité nationale, doit toujours exalter le juste orgueil du patriotisme plus que toute appellation dérivée de discriminations locales. Avec de légères nuances de différence, vous avez la même religion, les mêmes mœurs, les mêmes habitudes et les mêmes principes politiques. Vous avez, dans une cause commune, combattu et triomphé ensemble, l'indépendance et la liberté que vous possédez sont l'œuvre de conseils communs et d'efforts communs de dangers, de souffrances et de succès communs.

    Mais ces considérations, si puissamment qu'elles s'adressent à votre sensibilité, sont largement compensées par celles qui s'appliquent plus immédiatement à votre intérêt. Ici, chaque partie de notre pays trouve les motifs les plus impérieux pour soigneusement garder et préserver l'union de l'ensemble.

    Le Nord, dans un commerce effréné avec le Sud, protégé par les lois égales d'un gouvernement commun, trouve dans les productions de ce dernier de grandes ressources supplémentaires d'entreprise maritime et commerciale et des matériaux précieux d'industrie manufacturière. Le Sud, dans le même commerce, bénéficiant de l'agence du Nord, voit son agriculture se développer et son commerce s'étendre. Faisant en partie dans ses chenaux les marins du Nord, il trouve sa navigation particulière revigorée et, tout en contribuant, de diverses manières, à nourrir et à augmenter la masse générale de la navigation nationale, il attend avec intérêt la protection d'une force maritime. , à laquelle elle-même est inégalement adaptée. L'Orient, dans un commerce semblable avec l'Occident, trouve déjà, et dans l'amélioration progressive des communications intérieures par terre et par eau, trouvera de plus en plus un débouché précieux pour les marchandises qu'il apporte de l'étranger ou fabrique à l'intérieur. L'Occident tire de l'Orient les approvisionnements nécessaires à sa croissance et à son confort, et, ce qui est peut-être plus important encore, il doit nécessairement la jouissance assurée des débouchés indispensables à ses propres productions au poids, à l'influence et à la future force maritime. du côté atlantique de l'Union, dirigé par une communauté d'intérêts indissoluble en tant que nation. Tout autre mandat par lequel l'Occident peut détenir cet avantage essentiel, qu'il dérive de sa propre force séparée, ou d'un lien apostat et contre nature avec une puissance étrangère, doit être intrinsèquement précaire.

    Tandis qu'ainsi chaque partie de notre pays ressent un intérêt immédiat et particulier à l'union, toutes les parties réunies ne peuvent manquer de trouver dans la masse réunie des moyens et des efforts une plus grande force, une plus grande ressource, une plus grande sécurité proportionnellement contre les dangers extérieurs, une moindre interruption fréquente de leur paix par des nations étrangères et, ce qui est d'une valeur inestimable, ils doivent tirer de l'union une exemption de ces conflits et guerres entre eux, qui affligent si souvent les pays voisins non liés par les mêmes gouvernements, que leurs propres navires rivaux seul suffirait à produire, mais que des alliances, des attachements et des intrigues étrangères opposés stimuleraient et aigriraient. Par conséquent, de même, ils éviteront la nécessité de ces établissements militaires envahis qui, sous n'importe quelle forme de gouvernement, sont défavorables à la liberté, et qui doivent être considérés comme particulièrement hostiles à la liberté républicaine. C'est en ce sens que votre union doit être considérée comme un appui principal de votre liberté, et que l'amour de l'un doit vous faire aimer la conservation de l'autre.

    Ces considérations parlent un langage persuasif à tout esprit réfléchi et vertueux, et montrent la continuité de l'Union comme l'objet principal du désir patriotique. Est-il douteux qu'un gouvernement commun puisse embrasser une si grande sphère ? Laissez l'expérience le résoudre. Écouter de simples spéculations dans un tel cas était criminel. Nous sommes autorisés à espérer qu'une bonne organisation de l'ensemble avec l'agence auxiliaire des gouvernements pour les subdivisions respectives, donnera une issue heureuse à l'expérience. Cela vaut bien une expérience juste et complète. Avec des motifs d'union si puissants et évidents, affectant toutes les parties de notre pays, alors que l'expérience n'aura pas démontré son impraticabilité, il y aura toujours des raisons de se méfier du patriotisme de ceux qui, de quelque part, s'efforceront d'affaiblir ses bandes.

    En contemplant les causes qui peuvent perturber notre Union, il apparaît comme une grave préoccupation qu'un motif quelconque aurait dû être fourni pour caractériser les partis par des discriminations géographiques, Nord et Sud, Atlantique et Ouest d'où les hommes de conception peuvent s'efforcer d'exciter la croyance qu'il n'y a une réelle différence d'intérêts et de points de vue locaux. L'un des expédients du parti pour acquérir de l'influence dans des districts particuliers est de déformer les opinions et les objectifs des autres districts. Vous ne pouvez pas trop vous protéger contre les jalousies et les brûlures d'estomac qui naissent de ces fausses représentations qu'elles tendent à rendre étrangers les uns aux autres ceux qui devraient être liés par une affection fraternelle. Les habitants de notre pays d'Occident ont eu dernièrement une leçon utile à ce sujet qu'ils ont vue, dans la négociation par l'Exécutif, et dans la ratification unanime par le Sénat, du traité avec l'Espagne, et dans la satisfaction universelle de cet événement, à travers les États-Unis, une preuve décisive combien infondés étaient les soupçons propagés parmi eux d'une politique dans le gouvernement général et dans les États de l'Atlantique hostile à leurs intérêts en ce qui concerne le Mississippi, ils ont été témoins de la formation de deux traités, qu'avec la Grande-Bretagne, et celle de l'Espagne, qui leur assure tout ce qu'ils peuvent désirer, quant à nos relations extérieures, pour affirmer leur prospérité. Ne sera-t-il pas sage de compter pour la conservation de ces avantages sur l'Union qui les a procurés ? Ne seront-ils pas désormais sourds à ces conseillers, s'il y en a, qui les sépareraient de leurs frères et les relieraient à des étrangers ?

    Pour l'efficacité et la permanence de votre Union, un gouvernement d'ensemble est indispensable. Aucune alliance, si stricte soit-elle, entre les parties ne peut être un substitut adéquat, elles doivent inévitablement connaître les infractions et les interruptions que toutes les alliances de tous les temps ont connues. Sensible à cette vérité capitale, vous avez amélioré votre premier essai, par l'adoption d'une constitution de gouvernement mieux calculée que la vôtre pour une union intime et pour la gestion efficace de vos affaires communes. Ce gouvernement, la progéniture de notre propre choix, sans influence et sans crainte, a adopté après une enquête approfondie et de mûres délibérations, complètement libre dans ses principes, dans la répartition de ses pouvoirs, unissant la sécurité à l'énergie, et contenant en lui-même une disposition pour son propre amendement. , a un juste droit à votre confiance et à votre soutien. Le respect de son autorité, l'obéissance à ses lois, l'assentiment à ses mesures, sont des devoirs enjoints par les maximes fondamentales de la vraie liberté. La base de nos systèmes politiques est le droit du peuple de faire et de modifier ses constitutions de gouvernement. Mais la Constitution qui existe à tout moment, jusqu'à ce qu'elle soit modifiée par un acte explicite et authentique du peuple tout entier, est sacrément obligatoire pour tous. L'idée même du pouvoir et du droit du peuple d'établir un gouvernement présuppose le devoir de tout individu d'obéir au gouvernement établi.

    Toutes les entraves à l'exécution des lois, toutes les combinaisons et associations, sous quelque caractère plausible que ce soit, avec le véritable dessein de diriger, contrôler, contrecarrer ou effrayer la délibération et l'action régulières des autorités constituées, sont destructrices de ce principe fondamental, et de tendance fatale. Ils servent à organiser la faction, à lui donner une force artificielle et extraordinaire pour mettre, à la place de la volonté déléguée de la nation la volonté d'un parti, souvent une minorité petite mais rusée et entreprenante de la communauté et, selon l'alternative triomphes des différents partis, pour faire de l'administration publique le miroir des projets mal concertés et incongrus des factions, plutôt que l'organe de plans consistants et sains digérés par des conseils communs et modifiés par des intérêts mutuels.

    Quelle que soit la manière dont les combinaisons ou les associations décrites ci-dessus peuvent répondre de temps à autre à des fins populaires, elles deviendront probablement, au cours du temps et des choses, de puissants moteurs, par lesquels des hommes rusés, ambitieux et sans scrupules seront capables de subvertir le pouvoir de le peuple et d'usurper pour lui-même les rênes du gouvernement, détruisant ensuite les moteurs mêmes qui l'ont élevé à une domination injuste.

    Pour la conservation de votre gouvernement et la permanence de votre heureux état actuel, il est nécessaire, non seulement que vous rejetiez fermement les oppositions irrégulières à son autorité reconnue, mais encore que vous résistiez avec soin à l'esprit d'innovation sur ses principes, si spécieux qu'ils soient. les prétextes. Une méthode d'assaut peut être d'effectuer, dans les formes de la Constitution, des modifications qui altéreront l'énergie du système, et ainsi de saper ce qui ne peut pas être directement renversé. Dans tous les changements auxquels vous pouvez être invités, rappelez-vous que le temps et l'habitude sont au moins aussi nécessaires pour fixer le vrai caractère des gouvernements que d'autres institutions humaines que l'expérience est la norme la plus sûre pour tester la véritable tendance de la constitution existante. d'un pays que la facilité à changer, sur le crédit d'une simple hypothèse et opinion, expose à un changement perpétuel, de la variété infinie d'hypothèses et d'opinions et rappelez-vous, en particulier, que pour la gestion efficace de vos intérêts communs, dans un pays si étendu comme le nôtre, un gouvernement d'autant de vigueur qu'il est compatible avec la parfaite sécurité de la liberté est indispensable. La liberté elle-même trouvera dans un tel gouvernement, aux pouvoirs convenablement répartis et ajustés, son plus sûr gardien. Ce n'est en effet guère qu'un nom, où le gouvernement est trop faible pour résister aux entreprises de la faction, pour enfermer chaque membre de la société dans les limites prescrites par les lois, et pour maintenir tous dans la jouissance sûre et tranquille de les droits de la personne et de la propriété.

    Je vous ai déjà signalé le danger des partis dans l'État, notamment en les fondant sur des discriminations géographiques. Permettez-moi maintenant d'avoir une vue plus globale et de vous mettre en garde de la manière la plus solennelle contre les effets néfastes de l'esprit de parti en général.

    Cet esprit, malheureusement, est inséparable de notre nature, ayant sa racine dans les passions les plus fortes de l'esprit humain. Il existe sous différentes formes dans tous les gouvernements, plus ou moins étouffés, contrôlés ou réprimés mais, dans ceux de la forme populaire, il est vu dans son plus grand rang, et est vraiment leur pire ennemi.

    La domination alternée d'une faction sur une autre, aiguisée par l'esprit de vengeance, naturel aux dissensions de parti, qui dans différents âges et pays a perpétré les énormités les plus horribles, est en soi un affreux despotisme. Mais cela conduit enfin à un despotisme plus formel et permanent. Les désordres et les misères qui en résultent inclinent peu à peu l'esprit des hommes à rechercher la sécurité et le repos dans le pouvoir absolu d'un individu et tôt ou tard le chef de quelque faction dominante, plus capable ou plus heureux que ses concurrents, tourne cette disposition aux fins de sa propre élévation, sur les ruines de la liberté publique.

    Sans attendre une extrémité de ce genre (qui pourtant ne doit pas être entièrement hors de vue), les méfaits communs et continuels de l'esprit de parti suffisent pour faire de l'intérêt et du devoir d'un peuple sage de le décourager et de le retenir. .

    Elle sert toujours à distraire les conseils publics et à affaiblir l'administration publique. Il agite la communauté avec des jalousies infondées et de fausses alarmes, attise l'animosité des uns contre les autres, fomente parfois l'émeute et l'insurrection. Elle ouvre la porte à l'influence étrangère et à la corruption, qui trouve un accès facilité au gouvernement lui-même par les canaux des passions partisanes. Ainsi la politique et la volonté d'un pays sont soumises à la politique et à la volonté d'un autre.

    Il y a une opinion que les partis dans les pays libres sont des freins utiles à l'administration du gouvernement et servent à maintenir vivant l'esprit de liberté. C'est probablement vrai dans certaines limites et dans les gouvernements de caste monarchique, le patriotisme peut considérer avec indulgence, sinon avec faveur, l'esprit de parti. Mais dans ceux à caractère populaire, dans les gouvernements purement électifs, c'est un esprit à ne pas encourager. D'après leur tendance naturelle, il est certain qu'il y aura toujours assez de cet esprit pour tout but salutaire. Et comme il y a un danger constant d'excès, l'effort doit être par la force de l'opinion publique, pour l'atténuer et l'apaiser. Un feu à ne pas éteindre, il demande une vigilance uniforme pour éviter qu'il ne s'embrase, de peur qu'au lieu de se réchauffer, il ne se consume.

    Il importe également que les habitudes de pensée d'un pays libre inspirent la prudence à ceux qui en sont chargés, de se cantonner dans leurs sphères constitutionnelles respectives, en évitant dans l'exercice des pouvoirs d'un département d'empiéter sur un autre. L'esprit d'empiétement tend à consolider les pouvoirs de tous les départements en un seul, et à créer ainsi, quelle que soit la forme de gouvernement, un véritable despotisme. Une juste estimation de cet amour du pouvoir et de cette disposition à en abuser, qui prédomine dans le cœur humain, suffit pour nous convaincre de la vérité de cette position. La nécessité de freins réciproques dans l'exercice du pouvoir politique, en le divisant et en le répartissant en différents dépositaires, et en constituant chacun le gardien du bien public contre les invasions des autres, a été démontrée par des expériences anciennes et modernes certaines d'entre elles dans notre pays. et sous nos propres yeux. Les conserver doit être aussi nécessaire que les instituer. Si, de l'avis du peuple, la répartition ou la modification des pouvoirs constitutionnels est en quelque sorte erronée, qu'elle soit corrigée par un amendement dans le sens que la Constitution désigne. Mais qu'il n'y ait pas de changement par usurpation car bien que cela, dans un cas, puisse être l'instrument du bien, c'est l'arme habituelle par laquelle les gouvernements libres sont détruits. Le précédent doit toujours largement surbalancer en mal permanent tout bénéfice partiel ou passager, que l'usage peut à tout moment rapporter.

    De toutes les dispositions et habitudes qui conduisent à la prospérité politique, la religion et la morale sont des appuis indispensables. En vain cet homme réclamerait le tribut du patriotisme, qui travaillerait à renverser ces grands piliers du bonheur humain, ces plus solides appuis des devoirs des hommes et des citoyens. Le simple politique, tout autant que l'homme pieux, doit les respecter et les chérir. Un volume ne saurait retracer tous leurs rapports avec la félicité privée et publique. Qu'on se demande simplement : où est la sûreté de la propriété, de la réputation, de la vie, si le sens de l'obligation religieuse déserte les serments qui sont les instruments d'instruction des cours de justice ? Et laissez-nous avec prudence admettre la supposition que la moralité peut être maintenue sans religion. Quoi qu'on puisse admettre à l'influence d'une éducation raffinée sur des esprits de structure particulière, la raison et l'expérience nous interdisent toutes deux d'espérer que la morale nationale puisse prévaloir à l'exclusion du principe religieux.

    Il est en substance vrai que la vertu ou la moralité est un ressort nécessaire du gouvernement populaire. La règle, en effet, s'étend avec plus ou moins de force à toute espèce de gouvernement libre. Qui qui en est un ami sincère peut regarder avec indifférence les tentatives d'ébranler les fondations du tissu ?

    Promouvoir ensuite, comme objet de première importance, les institutions de diffusion générale du savoir. A mesure que la structure d'un gouvernement donne force à l'opinion publique, il est essentiel que l'opinion publique soit éclairée.

    En tant que source très importante de force et de sécurité, chérissez le crédit public. Une méthode pour la préserver est de l'utiliser avec le plus de parcimonie possible, en évitant les occasions de dépenses en cultivant la paix, mais en se rappelant aussi que des déboursés opportuns pour se préparer au danger empêchent souvent des déboursés beaucoup plus importants pour la repousser, évitant également l'accumulation de dettes, non seulement en évitant les occasions de dépenses, mais en s'efforçant vigoureusement en temps de paix d'acquitter les dettes que des guerres inévitables ont pu occasionner, sans rejeter sans générosité sur la postérité le fardeau que nous devons porter nous-mêmes. L'exécution de ces maximes appartient à vos représentants, mais il faut que l'opinion publique y coopère. Pour leur faciliter l'accomplissement de leur devoir, il est essentiel que vous gardiez pratiquement à l'esprit que pour le paiement des dettes, il doit y avoir des revenus que pour avoir des revenus, il doit y avoir des impôts qu'aucun impôt ne peut être conçu qui ne soit plus ou moins inconvenient and unpleasant that the intrinsic embarrassment, inseparable from the selection of the proper objects (which is always a choice of difficulties), ought to be a decisive motive for a candid construction of the conduct of the government in making it, and for a spirit of acquiescence in the measures for obtaining revenue, which the public exigencies may at any time dictate.

    Observe good faith and justice towards all nations cultivate peace and harmony with all. Religion and morality enjoin this conduct and can it be, that good policy does not equally enjoin it - It will be worthy of a free, enlightened, and at no distant period, a great nation, to give to mankind the magnanimous and too novel example of a people always guided by an exalted justice and benevolence. Who can doubt that, in the course of time and things, the fruits of such a plan would richly repay any temporary advantages which might be lost by a steady adherence to it ? Can it be that Providence has not connected the permanent felicity of a nation with its virtue ? The experiment, at least, is recommended by every sentiment which ennobles human nature. Alas! is it rendered impossible by its vices?

    In the execution of such a plan, nothing is more essential than that permanent, inveterate antipathies against particular nations, and passionate attachments for others, should be excluded and that, in place of them, just and amicable feelings towards all should be cultivated. The nation which indulges towards another a habitual hatred or a habitual fondness is in some degree a slave. It is a slave to its animosity or to its affection, either of which is sufficient to lead it astray from its duty and its interest. Antipathy in one nation against another disposes each more readily to offer insult and injury, to lay hold of slight causes of umbrage, and to be haughty and intractable, when accidental or trifling occasions of dispute occur. Hence, frequent collisions, obstinate, envenomed, and bloody contests. The nation, prompted by ill-will and resentment, sometimes impels to war the government, contrary to the best calculations of policy. The government sometimes participates in the national propensity, and adopts through passion what reason would reject at other times it makes the animosity of the nation subservient to projects of hostility instigated by pride, ambition, and other sinister and pernicious motives. The peace often, sometimes perhaps the liberty, of nations, has been the victim.

    So likewise, a passionate attachment of one nation for another produces a variety of evils. Sympathy for the favorite nation, facilitating the illusion of an imaginary common interest in cases where no real common interest exists, and infusing into one the enmities of the other, betrays the former into a participation in the quarrels and wars of the latter without adequate inducement or justification. It leads also to concessions to the favorite nation of privileges denied to others which is apt doubly to injure the nation making the concessions by unnecessarily parting with what ought to have been retained, and by exciting jealousy, ill-will, and a disposition to retaliate, in the parties from whom equal privileges are withheld. And it gives to ambitious, corrupted, or deluded citizens (who devote themselves to the favorite nation), facility to betray or sacrifice the interests of their own country, without odium, sometimes even with popularity gilding, with the appearances of a virtuous sense of obligation, a commendable deference for public opinion, or a laudable zeal for public good, the base or foolish compliances of ambition, corruption, or infatuation.

    As avenues to foreign influence in innumerable ways, such attachments are particularly alarming to the truly enlightened and independent patriot. How many opportunities do they afford to tamper with domestic factions, to practice the arts of seduction, to mislead public opinion, to influence or awe the public councils. Such an attachment of a small or weak towards a great and powerful nation dooms the former to be the satellite of the latter.

    Against the insidious wiles of foreign influence (I conjure you to believe me, fellow-citizens) the jealousy of a free people ought to be constantly awake, since history and experience prove that foreign influence is one of the most baneful foes of republican government. But that jealousy to be useful must be impartial else it becomes the instrument of the very influence to be avoided, instead of a defense against it. Excessive partiality for one foreign nation and excessive dislike of another cause those whom they actuate to see danger only on one side, and serve to veil and even second the arts of influence on the other. Real patriots who may resist the intrigues of the favorite are liable to become suspected and odious, while its tools and dupes usurp the applause and confidence of the people, to surrender their interests.

    The great rule of conduct for us in regard to foreign nations is in extending our commercial relations, to have with them as little political connection as possible. So far as we have already formed engagements, let them be fulfilled with perfect good faith. Here let us stop. Europe has a set of primary interests which to us have none or a very remote relation. Hence she must be engaged in frequent controversies, the causes of which are essentially foreign to our concerns. Hence, therefore, it must be unwise in us to implicate ourselves by artificial ties in the ordinary vicissitudes of her politics, or the ordinary combinations and collisions of her friendships or enmities.

    Our detached and distant situation invites and enables us to pursue a different course. If we remain one people under an efficient government. the period is not far off when we may defy material injury from external annoyance when we may take such an attitude as will cause the neutrality we may at any time resolve upon to be scrupulously respected when belligerent nations, under the impossibility of making acquisitions upon us, will not lightly hazard the giving us provocation when we may choose peace or war, as our interest, guided by justice, shall counsel.

    Why forego the advantages of so peculiar a situation? Why quit our own to stand upon foreign ground? Why, by interweaving our destiny with that of any part of Europe, entangle our peace and prosperity in the toils of European ambition, rivalship, interest, humor or caprice?

    It is our true policy to steer clear of permanent alliances with any portion of the foreign world so far, I mean, as we are now at liberty to do it for let me not be understood as capable of patronizing infidelity to existing engagements. I hold the maxim no less applicable to public than to private affairs, that honesty is always the best policy. I repeat it, therefore, let those engagements be observed in their genuine sense. But, in my opinion, it is unnecessary and would be unwise to extend them.

    Taking care always to keep ourselves by suitable establishments on a respectable defensive posture, we may safely trust to temporary alliances for extraordinary emergencies.

    Harmony, liberal intercourse with all nations, are recommended by policy, humanity, and interest. But even our commercial policy should hold an equal and impartial hand neither seeking nor granting exclusive favors or preferences consulting the natural course of things diffusing and diversifying by gentle means the streams of commerce, but forcing nothing establishing (with powers so disposed, in order to give trade a stable course, to define the rights of our merchants, and to enable the government to support them) conventional rules of intercourse, the best that present circumstances and mutual opinion will permit, but temporary, and liable to be from time to time abandoned or varied, as experience and circumstances shall dictate constantly keeping in view that it is folly in one nation to look for disinterested favors from another that it must pay with a portion of its independence for whatever it may accept under that character that, by such acceptance, it may place itself in the condition of having given equivalents for nominal favors, and yet of being reproached with ingratitude for not giving more. There can be no greater error than to expect or calculate upon real favors from nation to nation. It is an illusion, which experience must cure, which a just pride ought to discard.

    In offering to you, my countrymen, these counsels of an old and affectionate friend, I dare not hope they will make the strong and lasting impression I could wish that they will control the usual current of the passions, or prevent our nation from running the course which has hitherto marked the destiny of nations. But, if I may even flatter myself that they may be productive of some partial benefit, some occasional good that they may now and then recur to moderate the fury of party spirit, to warn against the mischiefs of foreign intrigue, to guard against the impostures of pretended patriotism this hope will be a full recompense for the solicitude for your welfare, by which they have been dictated.

    How far in the discharge of my official duties I have been guided by the principles which have been delineated, the public records and other evidences of my conduct must witness to you and to the world. To myself, the assurance of my own conscience is, that I have at least believed myself to be guided by them.

    In relation to the still subsisting war in Europe, my proclamation of the twenty-second of April, I793, is the index of my plan. Sanctioned by your approving voice, and by that of your representatives in both houses of Congress, the spirit of that measure has continually governed me, uninfluenced by any attempts to deter or divert me from it.

    After deliberate examination, with the aid of the best lights I could obtain, I was well satisfied that our country, under all the circumstances of the case, had a right to take, and was bound in duty and interest to take, a neutral position. Having taken it, I determined, as far as should depend upon me, to maintain it, with moderation, perseverance, and firmness.

    The considerations which respect the right to hold this conduct, it is not necessary on this occasion to detail. I will only observe that, according to my understanding of the matter, that right, so far from being denied by any of the belligerent powers, has been virtually admitted by all.

    The duty of holding a neutral conduct may be inferred, without anything more, from the obligation which justice and humanity impose on every nation, in cases in which it is free to act, to maintain inviolate the relations of peace and amity towards other nations.

    The inducements of interest for observing that conduct will best be referred to your own reflections and experience. With me a predominant motive has been to endeavor to gain time to our country to settle and mature its yet recent institutions, and to progress without interruption to that degree of strength and consistency which is necessary to give it, humanly speaking, the command of its own fortunes.

    Though, in reviewing the incidents of my administration, I am unconscious of intentional error, I am nevertheless too sensible of my defects not to think it probable that I may have committed many errors. Whatever they may be, I fervently beseech the Almighty to avert or mitigate the evils to which they may tend. I shall also carry with me the hope that my country will never cease to view them with indulgence and that, after forty five years of my life dedicated to its service with an upright zeal, the faults of incompetent abilities will be consigned to oblivion, as myself must soon be to the mansions of rest.

    Relying on its kindness in this as in other things, and actuated by that fervent love towards it, which is so natural to a man who views in it the native soil of himself and his progenitors for several generations, I anticipate with pleasing expectation that retreat in which I promise myself to realize, without alloy, the sweet enjoyment of partaking, in the midst of my fellow-citizens, the benign influence of good laws under a free government, the ever-favorite object of my heart, and the happy reward, as I trust, of our mutual cares, labors, and dangers.


    2nd Battalion, 1st Infantry Regiment "Cold Steel"

    In 2007, the 2nd Battalion, 1st Infantry Regiment was reactivated as part of the 5th Brigade Combat Team, 2nd Infantry Division at Fort Lewis, Washington. Previously, it had been assigned to the 172nd Infantry Brigade Combat Team at Fort Wainwright, Alaska. There its mission had been to, on order, deploy worldwide, secure a lodgment, and conduct combat operations in support of US national interests.

    The 1st Infantry Regiment draws its lineage from a distinguished line of post Revolutionary War Infantry Regiments. The 1st Infantry Regiment was originally constituted in the Regular Army as the 2nd Infantry Regiment in March 1791. 2nd Battalion, 1st Infantry Regiment traces its lineage back to a company of the 2nd Infantry. The 1st Infantry was redesignated in 1792 as the 2nd Sub-Legion, with the unit becoming a company of that formation. The 2nd Sub-Legion then took part in the battle of Fallen Timbers, the first victory for the post-Revolutionary Army. After the Legion system was disbanded the Regiment once again became the 2nd Infantry Regiment on 31 October 1796. In the War of 1812 the 2nd Infantry Regiment, as well as the 7th and 44th Infantry Regiments, fought in the southern theater to include the Battle of New Orleans with General Jackson.

    In 1815 the Army underwent a draw-down. Between May and October 1815, the 2nd, 7th, and 44th Regiments were consolidated into the 1st Infantry Regiment. On 21 August 1816 the company that 2nd Battalion, 1st Infantry traces its lineage to was designated as Company B, 1st Infantry. In the ensuing years the Regiment was primarily concerned with Indian conflicts. The 1st Infantry was involved in the Black Hawk War of 1832 and the Second Seminole War from 1839 to 1842. During this time the Regiment was commanded by one of its most famous commanders, Colonel Zachary Taylor, who would later become the 12th President of the United States.

    When War broke out with Mexico in 1846 the 1st Infantry Regiment was sent across the border with General Zachary Taylor's Army and participated in the storming of Monterrey where the Regiment fought house to house in savage hand to hand combat. From Monterrey the Regiment was transferred to General Winfield Scott's command and participated in the first modern amphibious landing in American history at Vera Cruz in 1847.

    Following the Mexican War, the Regiment campaigned in the Texas area against the Comanches until the outbreak of the Civil War in 1861. After escaping from rebel forces in Texas, the Regiment returned to the Mid-west and fought in the Mississippi area of operations. The Regiment fought in one of the first battles of the Civil War at Wilson's Creek, Missouri in 1862. The 1st Infantry then campaigned with General Grant against Vicksburg in 1863. The end of the War found the Regiment garrisoning New Orleans.

    After the Civil War the Regiment was sent West to fight the Indians once again. Company B, 1st Infantry was consolidated in April 1869 with Company B, 43rd Infantry, Veteran Reserve Corps (which had been first constituted 21 September 1866), and the consolidated unit remained designated as Company B, 1st Infantry. The 1st Infantry campaigned against the Sioux in the 1870's and 1890's and against the Apache, led by Geronimo, from 1882 to 1886. After the end of the Indian wars the Regiment was occupied with quelling labor disputes in California.

    War was declared with Spain in 1898 following the sinking of the USS Maine. The 1st Infantry was quickly sent to Florida where it embarked on ships and was sent to Cuba. While in Cuba the Regiment took part in the storming of the San Juan Heights and the capture of Santiago.

    In 1900, following occupation duty in Cuba, the Regiment was preparing for shipment to China to save foreigners threatened by the Boxer Rebellion. Instead, the Regiment was detoured to deal with the rebellion on the Philippine Islands, which had also been captured by the United States in the Spanish-American War. The Regiment would fight in this vicious guerrilla war in the jungles of the Philippines from 1900-1902 and again from 1906-1908.

    The 1st Infantry was assigned on 11 September 1918 to the 13th Division and relieved on 8 March 1919 from assignment to the 13th Division. It was then assigned on 27 July 1921 to the 2nd Division. It was relieved on 16 October 1939 from assignment to the 2nd Division and assigned to the 6th Division (later redesignated as the 6th Infantry Division).

    The Regiment's next action came in World War II as part of the 6th Infantry Division. The 1st Infantry participated in the destruction of Japanese forces on New Guinea in 1943, winning a Presidential Unit Citation for its action at Maffin Bay. The Regiment then participated in MacArthur's celebrated return to the Philippines in January 1945. After the war the Regiment was sent to Korea for occupation duty until it was deactivated on 10 January 1949.

    In 1950, the Regiment was reactivated at Fort Ord, California as a training regiment for units being sent to the fight in Korea. In 1956 the Regiment was assigned to the United States Military Academy at West Point, New York. Company B, 1st Infantry was inactivated on 15 May 1958 at West Point, New York, relieved from assignment to the United States Military Academy, and redesignated as Headquarters and Headquarters Company, 2nd Battle Group, 1st Infantry with its organic elements concurrently constituted. The Battle Group was assigned on 17 March 1958 to the 2nd Infantry Division and activated on 14 June 1958 at Fort Benning, Georgia. The unit was inactivated on 10 May 1963 at Fort Benning, Georgia, and relieved from assignment to the 2nd Infantry Division.

    The unit was redesignated on 10 September 1965 as the 2nd Battalion, 1st Infantry, and assigned to the 196th Infantry Brigade (Separate). It was activated on 15 September 1965 at Fort Devens, Massachusetts. In 1966, 2-1st Infantry was shipped to Vietnam with the rest of the 196th Infantry Brigade (Separate) where it would fight for the next 6 years. During this time the Regiment fought in 14 campaigns to include the bloody Tet Offensive. The unit was relieved during its service in Vietnam on 15 February 1969 from assignment to the 196th Infantry Brigade (Separate) and assigned to the 23rd Infantry Division. It was later relieved on 1 November 1971 from assignment to the 23rd Infantry Division and assigned back to the 196th Infantry Brigade (Separate).

    Following its tour of duty in Vietnam the Battalion was sent to Fort Lewis, Washington, where it became part of the 9th Infantry Division on 21 July 1972, having been relieved from assignment to the 196th Infantry Brigade (Separate).

    On 16 February 1991, the Battalion became part of the 199th Infantry Brigade (Separate) at Fort Polk, Louisiana, where it remained until inactivation in 1994. At that time it was relieved from assignment to the 199th Infantry Brigade (Separate). On 16 December 1995 the Battalion was reactivated at Fort Wainwright as part of the 6th Infantry Division (Light). It was relieved on 16 April 1998 from assignment to the 6th Infantry Division and assigned to the 172d Infantry Brigade (later redesignated as the 172nd Infantry Brigade Combat Team).

    The unit was redesignated on 1 October 2005 as the 2nd Battalion, 1st Infantry Regiment. It was inactivated on 16 December 2006 at Fort Wainwright, Alaska, and relieved from assignment to the 172nd Infantry Brigade Combat Team. It was assigned on 17 April 2007 to the 5th Brigade Combat Team, 2nd Infantry Division, and activated at Fort Lewis, Washington. In July 2010, 5th Brigade, 2nd Infantry Division was inactivated and reflagged as the 2nd Brigade, 2nd Infantry Division, to which 2-1st Infantry was assigned.


    636th Tank Destroyer Battalion

    Unit History: Activated on 15 December, 1941, at Camp Bowie, Texas. Arrived at Oran, Algeria, on 13 April, 1943. Landed at Paestum, Italy, beginning 13 September, 1943. Elements performed artillery missions, guarded Fifth Army CP, and trained British troops on M10 and TD doctrine in October and November. Reentered line in Mignano sector in late November, supporting assault on San Pietro. Supported Rapido River crossing in January, 1944. Entered Cassino sector in February. Transferred to Anzio beachhead in May. Entered Rome on 4 June. Landed in southern France on 15 August. First unit to enter Lyon and to reach the Moselle River in September. Engaged in the Vosges Mountain region beginning in October. Relieved 601st TD Battalion in Strasbourg in December. Battled German Northwind offensive in January and February, 1945. Converted to M36 beginning late February. Struck Siegfried Line near Wissembourg in late March. Crossed Rhine with 14th Armored Division in April, dashed toward Nürnberg. Ended war in southern Bavaria near Tegernsee. Attached to: 14th Armored Division 36th Infantry Division. History text from the book The Tank Killers by Harry Yeide. Used by permission.

    Combat Equipment: 9/43 - M10 3/45 - M36.

    Commanding Officers: Lt. Col. Van W. Pyland Maj. Regan L. Dubose (4/21/44) Lt. Col. Charles F. Wilber (6/44, WIA 3/17/45) Lt. Col. Edward Purdy (9/27/44 Temporary Duty till Lt. Col. Wilbur's return) Maj. Richard A. Danzi (3/17/45) Lt. Col. James W. Fry (4/13/44 thru 4/21/44)

    Code Name/s: Shamrock

    Campaign Credits: Naples - Foggia. Sept. 9, 1943 to Jan. 21, 1944

    Anzio. Jan. 22, to May 24, 1944

    Rome Arno. Jan. 22, to Sept. 9, 1944

    Southern France. Aug. 15, to Sept. 14, 1944 (Amphib)

    Rhineland. Sept. 15, 1944 to Mar. 21, 1945

    Ardennes-Alsace. Dec. 16, 1944 to Jan 25, 1945

    Central Europe. Mar. 22, to May 11, 1945

    Awards: Croix De Guerre (French or Belgium "Cross of War")

    Location August 1945: Brumath, France

    Additional Information/Materials:

    1.) Seek, Strike, Destroy, the History of the 636th Tank Destroyer Battalion. Written by Thomas M. Sherman, who was a veteran of the 636th, the book has 243 pages and was published in 1986 by Tom, who spent thousands of dollars purchasing unit records, which he then utilized while writing the book. Tom is from Marquette, Nebraska. The book is out of print but can still be purchased through rare and military booksellers. I do have a copy of the book, generously provided to me by Tom. If you have questions, I am willing to take a close look through the book for you.

    2.) Unit Roster - From the book by Tom Sherman and provided here by permission. Please note that the name Robert Burns appears in the roster for Recon. Company. While I can not be sure that there was not a Robert Burns, I do know that T5 John W. Burns was in Recon. Company and his name was ommitted from the list. You can see his Write-up in the Honoree section of the site.

    3.) Combat Highlights, Sept. 3, 1943-May 8, 1945 , 4 pages. Courtesy of the Tank Destroyer Association by L. L. Gill, TDA Historian.

    4.) B Company, 3rd Platoon Personnel List - Provided courtesy of Della Sutton Morris.

    The following documents are from the Combined Arms Research Library of the Command and General Staff College, Fort Leavenworth, Kansas, the Dwight D. Eisenhower Presidential Library, Museum and Boyhood Home, Abilene, Kansas (*) and Javier Tome (**).

    Sep. 1-20, 1943. 5 Pages (Operation Avalanche)

    Mar. 1-31, 1944. 15 Pages (Includes casualties, awards and Officer's roster)

    May 1-31, 1944. 20 Pages (Includes casualties, awards and Officer's roster)

    Jul. 1-31, 1944. 14 Pages (Includes awards and Officer's roster)

    Aug. 1-31, 1944. 34 Pages (Includes casualties and awards lists)

    Sep. 1-30, 1944. 31 Pages (Includes casualties, awards and Officer's roster)

    March 1-31, 1945 . 23 Pages (Includes casualties, awards, Officer and Hq Co rosters) (**)

    March 2-31, 1945. 75 Pages (Unit Journal)(**) NOTE - Large File

    May 11-31, 1945 . 28 Pages (Includes unit roster) (*)

    8.) Personal Narratives - These were written by a former veteran of the 636th, during the 1980's, in response to questions he recieved from the author doing research for an upcoming book on U. S. tank destroyer forces. Courtesy of the Tank Destroyer Association by L. L. Gill, TDA Historian.

    9.) Miscellaneous Documents-From the Tank Destroyer Association by L. L. Gill, TDA Historian.

    Co. A at Anzio , narrative by Capt. Robert A. Graham, 1944. 7 Pages
    Unit Commendation, May 25, 1944 . 1 Page
    Articles about a TD named 'Jinx' . 2 Pages
    "The Goering Incident" by Lt. Golden C. Sill, Recon Co. 3 Pages

    11.) Reconnaissance Company - Photo of the the Reconnaissance Company of the 636th, possibly taken at Camp Edwards while they were stationed there from October of 1942 to February of 1943. It was provided courtesy of Charles Burns whose father, John W. Burns, served in the unit and is shown in the second row from the front, 21st soldier from the right. Also in the second row is Leo R. Norkewicz, standing 22nd from the left.

    12.) Single Recon. Platoon - Small group photo of one of the Reconnaissance platoons along with the Recon. Company Commander, Cpt. Paul Kinnison, standing in the center. Kinnison was from San Antonio, Texas. John W. Burns is kneeling in front, 3rd soldier from the left. Photo courtesy of Charles Burns.

    13.) Video Clip, Members of the 636th TD Bn. - It has been identified to me that members of the 636th Tank Destroyer Battalion can be seen crossing a bridge in both the trailer and the actual documentary "The Long Way Home". The 1997 film is an Academy Award winner by Koch Lorber Films. Bret Lyon's father, Robert Lyon, who served in the Reconnaissance Company of the 636th, can be seen walking in the group of men. Bret saw his father quite by accident as he viewed the film. He has provided a link to the trailer, which is included above.

    14.) The Stokes Twins Ride The Oklahoma Widecat: WWII in Europe - Is a 163 page book by author Madlyn V. Stokes about Claude H. Stokes and his twin brother Clyde T. Stokes, who both served in the 636th Tank Destroyer Battalion. The book was published in 2003 and covers their pre and post-war lives. We do not have a copy of the book but it can be purchased from Amazon, which is where the our link takes you.

    15.) Small Group Photo - A group of men from the 636th pose for a photo during the occupation period. Their placard identifies them as the "Goons". Photo courtesy of Margaret Pickett whose father Frank L. Pickett joined the unit during the occupational period from the 55th Armored Engineers Battalion.

    16.) From the Riviera to Zell Am See, A Texas Soldier's Story - Book written by Sgt. Rufus Lester Leggett, which is a memoir of his service with the Reconnaissance Company of the 636th Tank Destroyer Battalion.

    17.) Interview with Rufus Lester Leggett - A detailed inte rview on Leggett's participation in the surrender of Hermann Goering on May 7, 1945.


    Combat of Zell, 14 September 1796 - History

    This is a finding aid. It is a description of archival material held in the Wilson Library at the University of North Carolina at Chapel Hill. Unless otherwise noted, the materials described below are physically available in our reading room, and not digitally available through the World Wide Web. See the Duplication Policy section for more information.

    Funding from the State Library of North Carolina supported the encoding of this finding aid.

    Expand/collapse Collection Overview

    Taille 1.5 feet of linear shelf space (approximately 200 items)
    Abstract William Lea (1777?-1873), was a merchant of Leasburg, N.C. He had three sons: Willis M., who became a physician and settled in Mississippi Lorenzo, Methodist minister and teacher in Tennessee and Mississippi and Solomon (1807-1897), Methodist minister and schoolmaster at Boydton, Greensboro, and Leasburg. Solomon's six daughters included Adeline, Lilianne, Eugenia, and Wilhelmina (1843-1936). The collection includes letters, 1812-1820s, consisting of family correspondence of William Lea (1777?-1873) and his brothers, Vincent and James, all merchants, writing from Leasburg, N.C., Petersburg and Norfolk, Va., and New York City, chiefly about business matters, prices, economic conditions, debts, current news, and other topics. Letters, 1820s-1850s, are chiefly between William Lea and his children and among the children. Willis M. Lea wrote from Philadelphia, where he was studying medicine, and later from Holly Springs, Miss. Solomon Lea was a student at the University of North Carolina and later lived at Boydton, Farmville, and Greensboro, N.C. Letters from 1861 onwards are chiefly correspondence of the daughters of Solomon Lea, most written by Wilhelmina from the various places where she taught school, including Louisburg, Olin, and other places in North Carolina and Murfreesboro, Tenn., and at the Marshall Institute in Mississippi. Volumes are ledgers, 1797-1803, of William Lea (1751-1806), merchant of Leasburg and uncle of William (1777?-1873) school accounts, 1853-1862, of Solomon Lea, who taught at Somerville Seminary and founded Somerville Female Institute in Leasburg and was president of Greensboro College, 1846-1857 and reminiscences and a 19-volume diary, 1872-1934, of Wilhelmina Lea.
    Creator Lea family.
    Langue Anglais
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    • Lea, James, fl. 1812-1830.
    • Lea, Lorenzo.
    • Lea, Solomon, 1807-1897.
    • Lea, Vincent, fl. 1812-1830.
    • Lea, Wilhelmina, 1843-1936.
    • Lea, William, 1751-1806.
    • Lea, William, 1777?-1873.
    • Lea, Willis M., fl. 1826-1940.
    • Leasburg (N.C.)--History--19th Century.
    • Medicine--Study and teaching--United States--History--19th Century.
    • Merchants--North Carolina--History--19th Century.
    • New York (N.C.)--Commerce--History--19th Century.
    • Norfolk (Va.)--Commerce--History--19th Century.
    • Petersburg (Va.)--Commerce--History--19th Century.
    • Physicians--Mississippi--History--19th Century.
    • Somerville Female Institute (Leasburg, N.C.)--History.
    • Somerville Seminary (Leasburg, N.C.)--History.
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    • Women teachers--North Carolina--History.
    • Women--North Carolina--Social life and customs.

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    William Lea (1777?-1873), merchant at Leasburg, N.C., was the son of Gabriel Lea (1756-1834). Gabriel also had a brother William who was a merchant.

    William Lea (1777?-1873) had three sons: Willis M., who became a physician and settled in Mississippi Lorenzo, Methodist minister and teacher in Tennessee and Mississippi and Solomon (1807-1897), Methodist minister and schoolmaster at Boydton, Greensboro, and Leasburg. Solomon was president of Greensboro Female College, 1846-1847, and operated the Somerville Female Institute at Leasburg from its founding in 1848 until 1892. William Lea, Jr., was a merchant at Petersburg, Va. Addison was also a Methodist teacher and preacher, mostly in Tennessee William's daughter Anness was the wife of Yancey Wiley of Oxford, Miss.

    Solomon's six daughters, including Wilhelmina (1843-1936). The other daughters were: Anness Sophia, who married Leon Richmond Henrietta, who married M. C. Thomas Adeline, who married B. L. Arnold) Lilianne, who married T. C. Neal and Eugenia, who married Calvin G. Lea. One son died in infancy and one son never married. Three of Eugenia and Calvin G. Lea's daughters married Dunlaps.


    Historical Notes:

    Description of the Insignia: Designed by the crew, the ship's insignia includes a classic profile of America's first president, a band of thirteen stars representing the original colonies and the crossed flags of freedom, all encircled by an unbroken rope representing the solidarity of the crew. The ship's motto, "The Spirit of Freedom," was used by George Washington in a letter to a fellow patriot during the Revolution to describe the mood of the people.


    Histoire

    HMS Surprise, originally under french service the Unite, was designed by Pierre-Alexandre Forfait and was designated as a corvette under french service. The Unite launched on the 16th of January 1794.

    On 20 March 1794, lieutenant de vaisseau Jean le Drézénec, who was 41 years old and had entered the naval service soon after the revolution from a career in the merchant service, arrived to take command of Unité. He supervised the fitting out of the ship, and found the long guns were too large to be easily reloaded, and the lower sails were also too large. He notified the authorities, who urged him to finish fitting out the ship because a major naval operation was imminent. Soon afterwards, Unité took part in the battle of the Glorious First of June by escorting the dismasted Révolutionnaire as she was towed by the Audacieux. In June 1794 Unité completed repairs in Saint-Malo and Brest to damage she had sustained in the battle. In the following months she escorted merchant vessels along the coasts of France. On 28 September, with the corvette Bergere and under the command of Lieutenant de Vaisseau Gouley, the two ships left Brest to sail northwest in between Ireland and the islands of the Hebrides and St Kilda to intercept enemy merchant ships. On 17 October, the ships captured a 200 ton merchant ship Dianne. The next day the weather turned foul and the two ships were separated. Unwilling or unable to continue the mission alone, Unité searched for Bergere fruitlessly for sixteen days before finally returning to Brest on 1 November.

    After repairs, Unité was ordered to join the Mediterranean fleet at Toulon, and arrived there in March 1795. She spent the remainder of the year either blockaded in port or serving as a courier. In April 1796, she was ordered on one such courier mission to North Africa to deliver personnel and messages to the port of Bône. At the time, Le Drézénec, who had been recently promoted to capitaine de frégate, was suffering from smallpox and was incapacitated. Consequently, her first lieutenant, Lieutenant Le Breton, commanded Unité. Captain Thomas Fremantle in command of the frigate HMS Inconstant had heard there was a French frigate in Bône, and sailed to intercept her. When Unité arrived in the afternoon of 20 April 1796, the watch aboard Unité identified Inconstant as a neutral vessel and Le Breton did not clear the ship for action. About an hour later, Inconstant sailed alongside, boarded and captured Unité intact. About a year after capture, Unité was renamed HMS Surprise because another French ship also named Unité had already been taken into the navy. Surprise was re-classed by the British as a 28-gun sixth-rate frigate, though she carried twenty-four 32-pounder carronades on her main deck, eight 32-pounders on her quarter- and fore- decks and two (or four) long 6-pound cannons as chasers. As in the French Navy, this led to difficulty in her rating, considered a fifth rate from 1797-98 but a sixth rate the rest of her commission. Also, she bore the main-mast of a 36-gun ship, just as unusual as her large armament.

    Under Captain Edward Hamilton, Surprise sailed in the Caribbean for several years, capturing several privateers. Surprise gained fame for the cutting-out expedition in 1799 of HMS Hermione. Hermione's crew had mutinied, and had sailed her into the Spanish possession of Puerto Cabello. Captain Edward Hamilton of Surprise led a boarding party to retake Hermione and, after an exceptionally bloody action, sailed her out under Spanish gunfire. The Spanish casualties included 119 dead 231 were taken prisoner, while another 15 jumped or fell overboard. Hamilton had 11 injured, four seriously, but none killed.

    After the Treaty of Amiens, the Royal Navy sold Surprise out of the service at Deptford in February 1802 and she was broken up.


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