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J'essaie surtout de me souvenir du nom qu'on a donné aux emplois qu'il a créés, qui ont été rendus « sans valeur » et payés pour un salaire très bas. De tels exemples faisaient fuir les pigeons et vendaient des pommes. Tout cela était destiné à améliorer l'apparence des chiffres du chômage et à donner un but aux gens.
Cependant, quelles autres stratégies a-t-il créées pour amortir le coup de la Grande Dépression ?
Cet article semble être une analyse impartiale de la réaction d'Herbert Hoover au crash de 1929. Il le dépeint comme un activiste relatif sur le plan économique, selon les normes du jour, mais à la fois surexcité lors des élections de 1928 et dépassé par l'ampleur de l'effondrement qui se produisait.
Il convient de rappeler qu'il a commencé la construction du barrage éponyme Hoover (approuvé par Coolidge en décembre 1928) comme une tentative de réduire le chômage de la Dépression.
Boondoggle, le terme que je cherchais, m'est venu aujourd'hui lorsque l'économiste Max Keizer l'a utilisé dans l'émission politique "Have I got News for You". Il l'a utilisé en référence au projet HS2 (train à grande vitesse) reliant Londres à Birmingham au Royaume-Uni.
Après d'autres recherches, j'ai découvert que le mot avait été utilisé pour la première fois en 1935 dans un rapport du New York Times sur le New Deal après qu'il eut été révélé que 3 millions de dollars avaient été dépensés pour des activités récréatives pour les chômeurs. Sa définition est « un projet qui est considéré comme une perte inutile de temps et d'argent, mais qui est souvent poursuivi en raison de motivations politiques étrangères ».
Le président Hoover a créé la President's Organization on Unemployment Relief (POUR) en 1931 pour générer des contributions privées pour aider les chômeurs, mais à la mi-1932, elle a fermé par manque de fonds. Il a approuvé quelques programmes de travaux publics comme le barrage de Grand Coulee à Washington pour employer des ouvriers. Le tarif Hawley-Smoot a également augmenté les droits d'importation sur les produits étrangers à de nouveaux sommets dans l'espoir d'encourager la fabrication et l'agriculture nationales. En réalité, cela n'a fait qu'entraver le commerce international, car d'autres pays ont créé leurs propres tarifs protecteurs.
Il est important de noter que Hoover croyait en un gouvernement très limité, et même ces quelques actions ont considérablement étiré son idéologie.
Quelle était l'approche de Hoover lors de la Grande Dépression ?
Le président Herbert Hoover a abordé le problème de la Grande Dépression en promouvant sa vision du secteur privé et de la coopération gouvernementale, exhortant les entreprises, les banques et le gouvernement à agir dans le meilleur intérêt du pays. Alors que la dépression s'aggravait, il signa une loi pour des projets de travaux publics et augmenta les dépenses gouvernementales.
Hoover a commencé à lutter contre la dépression en exhortant les entreprises à continuer d'employer des travailleurs et à résister à la baisse des salaires malgré la baisse des bénéfices. Il a adopté une approche similaire avec le secteur financier et a organisé la National Credit Corporation en 1931, qui a tenté d'encourager les banques à prêter à d'autres banques défaillantes afin qu'elles puissent se rétablir. Cette stratégie s'est avérée largement inefficace dans le secteur privé, car trop risquée et non rentable.
Alors que la dépression continuait, que le chômage montait en flèche et que de plus en plus de banques faisaient faillite, Hoover s'est tourné vers d'autres moyens de stimuler l'économie. En 1930, le Congrès approuva le Smoot-Hawley Tariff Act. La loi a augmenté les taxes sur les produits importés d'autres pays dans une tentative malavisée d'encourager l'achat de produits nationaux. La loi a encouragé des tarifs de représailles d'autres pays, qui ont découragé le commerce international et aggravé la dépression à l'échelle mondiale.
Vers la fin de son mandat, alors que le chômage atteignait près de 25 %, Hoover a promulgué une législation légèrement plus efficace. La Federal Home Loan Bank Act a tenté de fournir des incitations à la construction de nouvelles maisons et a abordé le secteur du logement en difficulté. Le Revenue Act de 1932 a augmenté les impôts sur le revenu des sociétés et des particuliers à des niveaux sans précédent pour lutter contre la dépression.
La dernière tentative de l'administration Hoover pour contrecarrer la Grande Dépression était la loi sur les secours et la construction d'urgence, également signée en 1932. La loi accordait des prêts garantis par le gouvernement aux banques et créait des projets de travaux publics dans l'intérêt d'augmenter l'emploi. Ce plan a été considérablement élargi par le successeur de Hoover, Franklin Roosevelt. Le New Deal de Roosevelt, ainsi que le début économiquement stimulant de la Seconde Guerre mondiale, mettraient effectivement fin à la Grande Dépression.
Le président et l'économie pendant la Grande Dépression
Lorsque le marché boursier s'est effondré en octobre 1929, le président Herbert Hoover a encouragé les chefs d'entreprise à adopter une approche interventionniste pour lutter contre l'urgence économique imminente, car "c'est l'action qui compte". 1 Au cours des trois prochaines années, cependant, Hoover a travaillé sans succès pour atténuer la crise économique de la Grande Dépression. Les promesses de bien-être des entreprises ont échoué. Les efforts de secours de l'État se sont dissipés. Non seulement le gouvernement fédéral était trop petit pour gérer la crise, mais les particuliers et les entreprises de tout l'éventail politique se sont opposés à l'intervention fédérale. Même le gouverneur de New York de l'époque, Franklin Roosevelt, a écrit en privé : « Je suis très opposé à l'extension de l'action fédérale à la plupart des problèmes sociaux de l'économie. 2
Mais lorsqu'il se présentait comme candidat démocrate à la présidentielle, Roosevelt a offert un message différent : il a promis que le gouvernement fédéral remanierait le jeu pour donner aux individus un « New Deal ». Une fois élus, les programmes du New Deal de Roosevelt ont élargi le rôle du gouvernement fédéral et du pouvoir exécutif dans la vie économique, sociale, culturelle et politique des Américains. Le transfert de pouvoir des tribunaux et des partis politiques du XIXe siècle à l'État administratif et du Congrès à l'exécutif, qui avait commencé pendant l'ère progressiste, s'est intensifié. Franklin Roosevelt a travaillé pour établir ce que les historiens ont appelé l'ordre du New Deal - la période de 40 ans allant du début des années 1930 au début des années 1970 lorsque le travail, les capitalistes et le gouvernement partageaient une croyance keynésienne en utilisant le gouvernement fédéral pour stimuler la croissance économique par le biais de politiques monétaires. et la promotion d'une « citoyenneté de consommateur » pour tous. 3
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Cette section examine à la fois les manières dont la relation entre le peuple et le président a changé au cours des années 1930 et les débats sur le rôle du président dans l'initiation et la narration de solutions aux crises économiques. Comme le note Lizabeth Cohen, Roosevelt « a personnalisé le pouvoir fédéral », transformant le président en une icône culturelle et politique. 4 En se concentrant sur les programmes et l'idéologie du New Deal, cette section donne un aperçu des débats du vingtième siècle sur le rôle du gouvernement fédéral dans l'économie, l'État collectif par rapport aux droits individuels, la place des groupes d'intérêt dans l'élaboration des politiques et l'importance croissante des messages médiatiques aux dirigeants politiques.
Bien que des historiens comme Arthur Schlesinger Jr. aient déjà souligné que la puissante personnalité de FDR était le moteur de cette réforme, des études récentes en histoire politique montrent que Roosevelt répond aux campagnes populaires des groupes de défense des consommateurs, aux pressions des membres du Congrès du Sud et aux demandes des groupes d'intérêt - de la Fédération américaine du travail aux agriculteurs. Les Américains ordinaires ont écrit au président des lettres demandant un soulagement, et comme ses prédécesseurs, Franklin Roosevelt a utilisé les nouvelles technologies médiatiques pour se connecter aux électeurs individuels sur une base personnelle et émotionnelle. Comme le note Margaret O'Mara, "Roosevelt n'était pas un révolutionnaire, mais un expérimentateur". 5 Sa présidence offre l'occasion d'examiner les manières dont les Américains ont fait pression pour des droits et des opportunités économiques. Le New Deal a généré des débats politiques sur la sécurité collective et les droits individuels qui ont façonné les contours du libéralisme et du conservatisme modernes pendant le reste du vingtième siècle.
Création d'un nouvel ordre de transaction :
Selon l'historienne Meg Jacobs, « La Grande Dépression a solidifié le lien entre les intérêts de la classe moyenne et de la classe ouvrière en exposant apparemment la « sous-consommation » comme le problème majeur du pays. » 6 Le New Deal a trouvé des moyens de promouvoir la consommation grâce à une réglementation qui a augmenté les salaires et fixé les prix, une législation qui a fourni des emplois et la sécurité, et des politiques monétaires keynésiennes pour lutter contre la déflation. Plutôt que de concentrer simplement le New Deal sur la personnalité de FDR, cette section s'appuie sur de nouvelles études en économie politique pour montrer l'influence des groupes d'intérêt et des intellectuels dans l'élaboration du programme de Roosevelt pendant la Grande Dépression et la Seconde Guerre mondiale.
De plus, les historiens ont récemment souligné comment la Seconde Guerre mondiale est devenue une opportunité d'étendre l'État du New Deal et de l'intégrer davantage dans la vie des Américains. 7 Pendant la Seconde Guerre mondiale, les promesses de droits des consommateurs, ou « d'être à l'abri du besoin », se sont intensifiées alors que la nation assumait sa place mondiale en tant qu'« arsenal de la démocratie ». Cette section montre comment les présidents sont devenus des leaders dans l'élaboration des politiques économiques et examine la nouvelle relation de collaboration qui s'est développée au fil du temps entre les entreprises et le gouvernement. Il encourage les étudiants à réfléchir à la manière dont ce rôle économique de la présidence a remodelé la relation et les attentes des Américains envers l'État pendant la dépression et la guerre. Ces sources primaires et secondaires éclairent la manière dont FDR a répondu à l'activisme sur le terrain des citoyens et des groupes de travail, ainsi que les nouvelles théories économiques populaires exprimées par l'économiste britannique John Maynard Keynes.
Lectures recommandées sur la politique monétaire
SOURCE SECONDAIRE
- Sur la lutte contre la déflation par la politique monétaire, voir Eric Rauchway, « Reflation and Recovery in the 1930s and Their Implications for the 2000s », dans Making the American Century: Essais sur la culture politique de l'Amérique moderne,éd. Bruce Schulman, (New York : Oxford University Press, 2014), 215-27.
SOURCES PRIMAIRES
- Le premier Fireside Chat de Franklin Roosevelt, "On Banking", prononcé le 12 mars 1933. Texte du discours sur https://millercenter.org/the-presidency/presidential-speeches/march-12-1933-fireside-chat-1-banking -crise
- Des individus à travers le pays ont répondu à la déclaration révolutionnaire de Franklin Roosevelt de retirer le pays de l'étalon-or, qui était considéré comme un élément sacré de la politique monétaire de notre pays depuis sa fondation. http://historymatters.gmu.edu/d/8126
QUESTIONS DE DISCUSSION
- Comment Franklin Roosevelt est-il influencé par les idées de John Maynard Keynes ?
- Comment FDR utilise-t-il les politiques monétaires pour promouvoir des solutions économiques qui favorisent également « la force des institutions d'une nation et la solidité de ses valeurs » ?
- Comment les questions économiques deviennent-elles des questions morales sur lesquelles le président a autorité ?
Lectures recommandées sur les droits des consommateurs
SOURCES SECONDAIRES
- Sur la mobilisation des groupes d'intérêt des consommateurs, voir Meg Jacobs, « Pocketbook Politics: Democracy and the Market in Twentieth-Century America », dans L'expérience démocratique : nouvelles orientations dans l'histoire politique américaine, éd. Meg Jacobs, William J. Novak et Julian E. Zelizer, (Princeton et Oxford : Princeton University Press, 2003), 250-275.
SOURCES PRIMAIRES
QUESTIONS DE DISCUSSION
- Comme le soutient Meg Jacobs, « les syndicats se sont vendus et ont gagné le soutien du public en tant qu'agents de reprise et de prospérité en augmentant le pouvoir d'achat du pays grâce à des salaires plus élevés ». 8
- Comment la rhétorique et les politiques de Franklin Roosevelt envers le travail et ses efforts pour garantir le pouvoir d'achat et les droits économiques de tous les Américains changent-ils au cours du New Deal et de la Seconde Guerre mondiale ?
- Comment FDR cultive-t-il des relations avec les dirigeants syndicaux pour obtenir le soutien des travailleurs dans son discours de la fête du Travail ?
- Que nous disent ces discours sur la trajectoire historique de la promesse des « droits économiques » ? Comment cela change-t-il de la Grande Dépression à la Seconde Guerre mondiale ?
ACTIVITÉ DE RECHERCHE
Enquêter sur le New Deal
CPC est un site Web qui collabore avec des partenaires pour créer un espace permettant aux utilisateurs de rechercher dans les collections présidentielles. Apprenez-en plus sur presidentiellescollections.org!Demandez aux élèves de rechercher un texte de loi du New Deal et de préparer une présentation du programme pour la classe. En plus des archives de la collection Connecting Presidential Collection, demandez aux élèves d'utiliser ces deux sites Web New Deal :
Après avoir sélectionné un texte législatif du New Deal, demandez aux élèves de présenter le programme et la politique à la classe, en répondant aux questions suivantes.
- Quel était le but du programme New Deal ?
- Qu'est-ce que le programme a obtenu?
- Comment FDR a-t-il vendu le programme au public américain ?
- Comment les historiens ont-ils débattu de l'efficacité du programme ?
- Quelles nouvelles attentes du gouvernement et du président découlent de ces textes législatifs ?
- La législation existe-t-elle encore ?
L'HÉRITAGE DE ROOSEVELT : NARRATEUR EN CHEF
Selon Alice O'Connor, les présidents ont traversé les crises économiques en occupant un poste de « narrateur en chef ». En contrôlant les récits économiques, des présidents à succès comme Franklin Roosevelt et Ronald Reagan ont chacun offert à la nation une explication des « problèmes et perspectives économiques, un énoncé des objectifs et de la politique nationaux, et une vision de l'identité et du but nationaux qui pourraient rallier le soutien à ses propres assiégés. programme de relance économique et de réforme. 9 O'Connor soutient que FDR et Reagan ont utilisé ce récit pour obtenir de la publicité et du soutien pour leurs programmes économiques et faire passer une « réforme centrée sur l'exécutif ».
En examinant les discours suivants, évaluez ce qui fait le succès ou l'échec d'un « narrateur en chef ». Quels récits ces présidents ont-ils établis en temps de crise économique ? Comment chaque président cadre-t-il les origines de la crise économique et ses solutions ?
Dans quelle mesure ces récits ont-ils réussi à promouvoir leurs programmes économiques plus larges ?
Franklin Roosevelt a exposé son programme économique lors de son premier discours inaugural le 4 mars 1933.
Jimmy Carter a été aux prises avec la crise pétrolière et la stagflation pendant la Grande Inflation des années 1970 dans son discours télévisé du 15 juillet 1979.
Ronald Reagan a présenté son programme de relance économique le 27 juillet 1981, qui a abouti à l'adoption de la loi sur la taxe de relance économique de 1981 le 13 août 1981.
Barack Obama a prononcé un discours à Osawatomie, Kansas, le 6 décembre 2011, pour discuter de son programme économique qui avait été bloqué par un Congrès dominé par les républicains.
La loi sur l'économie de 1932
Le président Hoover avec les jeunes républicains de New York. juin 1932
Le 30 juin 1932, le président Herbert Hoover a promulgué la « Loi sur l'économie de 1932 » pour réduire les salaires du gouvernement, qui visait à aider à équilibrer le budget fédéral qui était gravement dans le rouge en raison de la Grande Dépression. À l'époque, presque tous les économistes et politiciens pensaient qu'un budget équilibré était crucial pour la reprise économique, mais aujourd'hui, la plupart des économistes conviennent que tenter de réduire les dépenses publiques pendant la Dépression était une mauvaise idée. Réduire les salaires des fonctionnaires était un moyen efficace d'économiser de l'argent, mais cela signifiait également qu'ils ne dépensaient pas cet argent dans leurs communautés.
Certaines dispositions de la nouvelle loi imposaient de réelles difficultés : les congés annuels étaient réduits et les retraités devaient renoncer à leur pension s'ils avaient d'autres revenus ou un emploi totalisant plus de 3 000 $. La disposition la plus controversée, l'article 213, obligeait les ministères, s'ils devaient licencier des travailleurs pour atteindre les objectifs de dépenses, à licencier les employés dont le conjoint travaillait également pour le gouvernement. En règle générale, cela signifiait que les épouses perdaient leur emploi, car leurs maris gagnaient généralement des salaires plus élevés.
Pourquoi le Congrès a-t-il pensé que c'était une bonne idée ? Il était largement admis à l'époque que les femmes pouvaient travailler à l'extérieur du foyer avant le mariage et que les femmes qui ne se mariaient pas pouvaient avoir une carrière, mais on supposait que la femme d'une famille à deux revenus travaillait pour de l'argent frivole. #8221 ou négligent de sa famille. Alors que le chômage montait en flèche pendant la Dépression, les femmes mariées qui travaillaient étaient accusées d'occuper égoïstement des emplois qui pouvaient aider un soutien de famille (supposé être un homme) à subvenir aux besoins de sa famille.
Le président Hoover a ordonné à tous les départements d'éviter les licenciements permanents dans la mesure du possible - il ne voulait pas que les fonctionnaires perdent leur emploi. Il croyait que la réduction des heures et des salaires dans tous les domaines était la meilleure approche. licencier des employés ne ferait qu'augmenter le nombre de chômeurs. La solution du président Hoover consistait à réduire la semaine de travail fédérale de 44 heures à 40 heures (à cette époque, la plupart des employés fédéraux travaillaient une demi-journée le samedi), essentiellement une baisse de salaire de 9 %. Certaines agences ont choisi de fonctionner sur une semaine de 5 jours, d'autres ont continué les opérations de 6 jours et ont permis aux employés de choisir quand prendre des jours de congé. Il y avait diverses exceptions, de sorte que certains travailleurs ont subi des réductions de salaire plus ou moins importantes.
Le salaire de Hoover en tant que président était fixé par la loi et ne pouvait pas être modifié au milieu de son mandat, il a donc volontairement rendu 20%. Pour le reste de son mandat, il a reçu deux chèques chaque mois, un de 5 000 $ et un de 1250 $, afin qu'il puisse simplement retourner le deuxième chèque au Trésor. Le plus gros chèque est allé à une œuvre caritative, comme cela avait toujours été sa pratique - il n'a jamais gardé son salaire pour aucun service public.
Les membres du Cabinet n'étaient techniquement pas soumis à la loi sur l'économie, mais ils ont tous accepté de subir des réductions de salaire de 15 %.
La loi sur l'économie est restée en vigueur longtemps après l'abrogation de l'article 213 de l'administration Hoover, qui discrimine les personnes mariées, en 1937.
Salaire de la dépression
Les politiques de la Réserve fédérale au cours de la dernière année ont été en partie motivées pour ne pas répéter certaines des politiques des années 1930, y compris les politiques monétaires déflationnistes. La politique actuelle de la Fed a aidé à éviter la déflation, qui a certainement été importante, mais historiquement, la déflation en soi ne crée pas toujours des dépressions massives.
Les professeurs Andrew Atkeson de l'UCLA et Patrick Kehoe de Princeton ont étudié la déflation et la dépression et déclarent qu'à l'exception des années 1930, « dans le reste des données pour 17 pays et plus de 100 ans, il n'y a pratiquement aucune preuve d'un lien entre déflation et dépression." Cela suggère qu'il y avait des facteurs présents au cours des années 1930, mais pas à d'autres moments, qui ont intensifié l'impact de la déflation sur l'économie.
Mes recherches suggèrent que les politiques économiques sont importantes pour comprendre pourquoi la dépression a été si grave au départ et pourquoi la déflation a été plus déprimante au cours des années 1930. Plus précisément, cette recherche suggère que les politiques du président Herbert Hoover qui ont créé et encouragé des cartels industriels, et qui ont maintenu les salaires industriels au-dessus de leurs niveaux d'équilibre du marché, étaient des facteurs importants.
Les points de vue de Hoover sur la concurrence diffèrent considérablement de la pensée économique d'aujourd'hui. Les économistes d'aujourd'hui favorisent généralement une concurrence vigoureuse dans de nombreux contextes de marché, car la concurrence favorise les prix les plus bas pour les consommateurs et fait en sorte que seuls les producteurs les plus efficaces survivent. Mais Hoover pensait qu'il y avait trop de concurrence dans l'économie américaine dans les années 1920. Hoover croyait que la synchronisation et la coopération industrielles, ainsi que les codes de « concurrence loyale » entre les entreprises d'un même secteur, généreraient des résultats économiques supérieurs. Sans surprise, les initiatives de Hoover qui ont aidé l'industrie à développer des groupes commerciaux collusoires ont favorisé une forte concentration industrielle et des distorsions de monopole substantielles au cours des années 1920.
Les points de vue de Hoover sur la politique salariale et son interprétation du fait que les salaires élevés et la prospérité vont de pair étaient également différents. Un certain nombre d'économistes interprètent aujourd'hui les salaires réels élevés comme le reflet d'une productivité élevée des travailleurs qui résulte d'une main-d'œuvre qualifiée travaillant avec un stock important de capital et des technologies efficaces. En d'autres termes, la productivité des travailleurs est le moteur des salaires réels et de la prospérité.
Mais Hoover a interprété cette corrélation différemment et a estimé que l'augmentation des salaires en soi était importante pour promouvoir la prospérité, alors qu'il a apparemment ignoré l'impact de l'augmentation des salaires au-dessus de la productivité des travailleurs sur les décisions d'embauche des entreprises.
Les opinions politiques de Hoover ont préparé le terrain pour les réunions qu'il a tenues à la Maison Blanche avec la grande industrie à la fin de 1929 qui comprenaient
Mais la baisse des prix et de la productivité, associée au programme de fixation des salaires de Hoover, a considérablement augmenté les coûts de la main-d'œuvre industrielle. Peu de temps après les réunions de Hoover, le secteur industriel a commencé à se contracter rapidement. Entre octobre 1929 et septembre 1930, les heures travaillées dans l'industrie ont diminué de près de 30 %. Ainsi, le secteur industriel a été gravement déprimé environ un an après le début de la dépression, avant la plupart des fortes baisses de la masse monétaire soulignées par Milton Friedman et Anna Schwartz, et avant la plupart des paniques bancaires soulignées par le président de la Réserve fédérale Ben Bernanke.
Alors que le déclin industriel s'intensifiait, les dirigeants de l'industrie ont demandé à Hoover s'il soutiendrait des réductions de salaires proportionnelles à la déflation qui s'était produite. Mais Hoover n'a pas soutenu les demandes de l'industrie, malgré les critiques croissantes de divers milieux selon lesquelles son programme maintenait les salaires bien au-dessus de leurs niveaux d'équilibre du marché.
Ce point de vue est corroboré par les recherches de l'historien de l'économie Curtis Simon, qui a analysé les annonces de « situation recherchée » dans les années 1930, qui ont été retirées par des personnes à la recherche d'un emploi. Le professeur Simon a constaté que le prix de l'offre de main-d'œuvre - le taux de salaire demandé par les demandeurs d'emploi dans leurs annonces - était bien inférieur aux taux de salaire qui étaient payés. Et avant la Dépression, il y avait très peu de différence entre le salaire demandé par les demandeurs d'emploi et le salaire payé.
L'industrie a commencé à réduire les salaires à l'automne 1931, après que les heures travaillées dans l'industrie aient diminué d'environ 40 %, mais les salaires réels dans l'industrie sont restés élevés, alors que la déflation s'accélérait considérablement. Le programme de main-d'œuvre de Hoover a eu un impact sur l'industrie, mais pas sur le secteur agricole, qui à l'époque avait à peu près la même part d'emplois que l'industrie. Et l'emploi agricole a peu changé au début des années 1930.
Cette recherche suggère que la dépression et la perte d'emplois auraient été plus douces si Hoover n'avait pas imploré l'industrie de fixer les salaires industriels. Les programmes de Hoover n'étaient certainement pas le seul facteur impliqué dans la Dépression, et des recherches supplémentaires sont nécessaires sur l'impact de la rigidité des salaires et d'autres facteurs pour comprendre la pathologie de la Grande Dépression, mais ces résultats suggèrent que les politiques qui empêchent la concurrence peuvent déprimer l'économie .
Les résultats ont également des implications pour la politique actuelle. Plus précisément, la plupart des économistes et des décideurs s'inquiètent du fait que la croissance des salaires d'un certain nombre de travailleurs à revenu faible et intermédiaire a été relativement lente au cours des trois dernières décennies. L'un des messages de cette recherche est que les politiques visant à augmenter les salaires sans augmenter la productivité risquent de perdre des emplois, en particulier dans les secteurs de l'économie concurrentiels à l'échelle mondiale. Mais il existe des politiques alternatives qui peuvent aider les travailleurs en augmentant la productivité grâce à l'augmentation des bourses et des subventions de formation qui augmentent l'accès et réduisent le coût de l'éducation postsecondaire.
La récente proposition du président Obama d'augmenter le soutien fédéral aux collèges communautaires de 12 milliards de dollars afin d'améliorer la productivité et les compétences des travailleurs est un excellent premier pas dans cette direction. Cela concorde avec les recherches récentes qui ont mis l'accent sur l'importance des études et de la formation postsecondaires pour accroître la croissance des salaires à long terme. Et l'importance d'augmenter et d'améliorer la formation professionnelle deviendra probablement encore plus importante à mesure que les travailleurs et les entreprises américains seront confrontés à une pression concurrentielle mondiale accrue à l'avenir.
Lee E. Ohanian est professeur d'économie et directeur du programme de la famille Ettinger en recherche macroéconomique à l'UCLA. (Le chroniqueur de Forbes Thomas F. Cooley est absent cette semaine.)
4. Mangez à la maison
Pour la majorité des Américains dans les années 1930, manger au restaurant était – pardonnez le jeu de mots – hors de la table. Pratiquement tous les repas étaient préparés à la maison et les recettes du jour étaient pour le moins créatives.
Les plats classiques de l'ère de la Dépression comprenaient une tarte au vinaigre, une salade de pissenlits et quelque chose appelé Hoover Stew, qui incorporait des macaronis, des hot-dogs et tout ce qui traînait et semblait quelque peu comestible.
Même si vous n'êtes peut-être pas si désespéré, préparer vos repas à la maison et utiliser la nourriture que vous avez dans votre garde-manger reste un moyen judicieux d'économiser de l'argent, surtout si vous utilisez une carte de remboursement pour faire vos courses.
La crise du COVID en comparaison avec la Grande Dépression
Les gens se demandent comment la Grande Dépression et le New Deal se comparent à la crise actuelle du COVID-19. Les situations économiques ne se ressemblent pas et la réponse actuelle des gouvernements américains est de plusieurs ordres de grandeur plus grande que la réponse du New Deal à la Grande Dépression.
Actuellement, nous savons exactement pourquoi l'économie est tombée d'une falaise. Pour arrêter l'expansion d'une vilaine maladie qui peut entraîner des décès horribles, les responsables de tous les niveaux de gouvernement ont exigé que tous sauf les «travailleurs essentiels» restent à la maison et pratiquent la distanciation sociale lorsqu'ils se rendent dans les épiceries et les pharmacies. Cette décision a «aplati la courbe» et réduit la transmission de la maladie. En conséquence, les secteurs économiques qui impliquent des activités en face-à-face sont pour la plupart restés en sommeil, entraînant la perte d'opportunités de travail pour les travailleurs et la lutte pour la survie des entreprises.
En revanche, même maintenant, nous ne comprenons toujours pas pleinement les causes de la Grande Dépression des années 1930. La production réelle en 1932 et 1933 était inférieure de 30 % à celle de 1929. Elle n'a pas atteint le niveau de 1929 avant 1937. Les taux de chômage sont passés d'environ 2 % en 1929 à près de 10 % en 1930, puis sont restés supérieurs à 10 % jusqu'en 1940, dont quatre ans au-dessus de 20 pour cent. Nous savons que nous avons commis des erreurs de politique : le tarif Hawley-Smoot, la politique monétaire qui offrait trop peu trop tard et l'augmentation des impôts de 1932 qui augmentait les impôts sur le revenu des 10 % les plus riches et ajoutait de nouvelles taxes d'accise qui frappaient tous les membres de l'économie. Pourtant, il y avait d'autres facteurs qui ne sont pas aussi faciles à identifier qui ont contribué à une telle baisse de l'activité économique.
Avant 1929, la population ne demandait pas grand-chose au gouvernement fédéral. Les gouvernements étatiques et locaux étaient responsables des politiques du travail et de lutte contre la pauvreté. Les dépenses du gouvernement fédéral représentaient 3 % du PIB en 1929. Peu de gens se rendent compte que le gouvernement d'Herbert Hoover en 1932 avait porté les dépenses fédérales à 6 % du PIB de 1929 (8 % d'un PIB réduit de 1932) parce qu'Herbert Hoover l'a fait dans le cadre des programmes existants, a fortement appelé à des budgets équilibrés et n'a pas augmenté les dépenses au cours de sa dernière année au pouvoir. Le New Deal de Franklin Roosevelt a ensuite établi des dizaines de nouveaux programmes tout en augmentant les dépenses fédérales en 1939 à 11 % du PIB de 1929 (10 % du PIB de 1939). La plupart des dépenses sont allées à des programmes de lutte contre la pauvreté comme la FERA et la WPA, qui versaient des salaires d'environ la moitié aux deux tiers des salaires versés sur les projets de travaux publics. En proportion des salaires perdus, les versements étaient un peu meilleurs que les prestations d'assurance-chômage modernes, mais il y avait une exigence de travail dans les programmes des années 1930. Une partie de l'argent du New Deal est allée à des projets de travaux publics qui payaient l'intégralité des salaires. Environ 10 pour cent sont allés aux paiements aux agriculteurs qui les ont aidés mais ont poussé les locataires, les cultivateurs et les travailleurs agricoles à quitter l'agriculture. D'autres programmes comprenaient des programmes de prêts pour les agriculteurs, les propriétaires et les entreprises, la reconnaissance des nouvelles réglementations financières des syndicats et la tentative inconstitutionnelle de la National Recovery Administration de permettre à chaque industrie d'éviter une concurrence féroce en fixant les prix, les salaires, les heures hebdomadaires et la qualité des produits. À long terme, la loi sur la sécurité sociale a établi des pensions de vieillesse, des subventions fédérales de contrepartie pour les programmes de lutte contre la pauvreté des États et une assurance-chômage. Comme Hoover, Roosevelt a également essayé d'équilibrer le budget, et les déficits en pourcentage du PIB étaient inférieurs aux déficits de plusieurs années sous Reagan, le premier Bush, Obama et Trump.
Quelqu'un m'a récemment demandé si la société d'aujourd'hui a la volonté d'appeler les gouvernements à aider comme ils l'ont fait pendant le New Deal. Cela m'a frappé comme une déclaration étrange. Nous avons montré ci-dessus qu'il a fallu dix ans pour que les dépenses fédérales passent de 3 à 11 % du PIB de 1929. Cette crise est survenue parce que le président, les gouverneurs et les maires, essayant de sauver des vies, ont ordonné aux gens de rester chez eux et aux entreprises de fermer. Au cours des dernières semaines, la Réserve fédérale a ouvert des facilités de prêt dans l'ensemble de l'économie de manière sans précédent. Les allocations de chômage vont pour la première fois aux travailleurs dont les employeurs n'ont pas cotisé au système, et le gouvernement fédéral ajoute 600 $ de paiements hebdomadaires qui augmentent les allocations bien au-dessus des 50 pour cent habituels du salaire hebdomadaire. Enfin, un Congrès et un président fortement divisés ont établi une autorisation de dépenser de 2 700 milliards de dollars dans des programmes d'urgence qui font passer les dépenses fédérales d'environ 21 % à 34 % du PIB de 2019. Cela portera le déficit fédéral de 5 à au moins 18 % du PIB, et presque tous les États connaîtront également des déficits substantiels. Jeudi, Nancy Pelosi a appelé à un milliard de dollars supplémentaires pour soutenir les gouvernements des États et locaux. Ce trillion porte les dépenses publiques en pourcentage du PIB à 39%, juste en deçà des 40% que les Américains ont dépensés pour combattre la Seconde Guerre mondiale au plus fort de la guerre en 1944. Le public américain et les dirigeants des deux côtés de l'allée sont aujourd'hui clairement disposés à permettre aux gouvernements de prendre des mesures qui vont bien au-delà de ce que le gouvernement du New Deal a fait dans les années 1930. Ils pourraient bien bientôt rivaliser avec les dépenses fédérales au plus fort de la Seconde Guerre mondiale.
Price Fishback est professeur d'économie Thomas R. Brown à l'Université de l'Arizona.
Le New Deal controversé
Élu en 1933, le président Franklin Roosevelt a promis un changement massif. Le New Deal qu'il a initié était une série innovante et sans précédent de programmes et d'actes nationaux conçus pour soutenir les entreprises américaines, réduire le chômage et protéger le public.
Librement basé sur l'économie keynésienne, son concept était que le gouvernement pouvait et devait stimuler l'économie. Le New Deal a fixé des objectifs ambitieux pour créer et maintenir l'infrastructure nationale, le plein emploi et des salaires sains. Le gouvernement a entrepris d'atteindre ces objectifs en contrôlant les prix, les salaires et même la production.
Certains économistes prétendent que Roosevelt a continué de nombreuses interventions de Hoover, juste à plus grande échelle. Il a maintenu une focalisation rigide sur le soutien des prix et les salaires minimums et a retiré le pays de l'étalon-or, interdisant aux individus d'accumuler des pièces d'or et des lingots. He banned monopolistic, some consider them competitive, business practices, and instituted dozens of new public works programs and other job-creation agencies.
The Roosevelt administration paid farmers and ranchers to stop or cut back on production. One of the most heartbreaking conundrums of the period was the destruction of excess crops, despite the need for thousands of Americans to access affordable food.
Federal taxes tripled between 1933 and 1940 to pay for these initiatives as well as new programs such as Social Security. These increases included hikes in excise taxes, personal income taxes, inheritance taxes, corporate income taxes, and an excess profits tax.
Grande Dépression
Texans were optimistic about the future in January 1929. Over the past decade the state population had increased to 5,824,715, representing a gain of more than one million people, or almost 25 percent. Although geared to one crop&mdash"Cotton is King"&mdashthe economy was somewhat diversified. Dans Est du Texas the Piney Woods accounted for a substantial lumber industry in the lower Rio Grande valley, with the introduction of irrigation, both truck and citrus farming had proved extremely profitable on the Edwards Plateau and in West Texas, livestock had established the state as the nation's number-one producer of hides and wool and mohair and at many oftentimes isolated sites such as Desdemona and Wink, wildcatters pursued the legacy of the Spindletop oilfield by producing vast amounts of oil and gas. In fact, Texans prided themselves on their situation, in being the largest state&mdashindeed more spacious in area than any western European nation&mdashand in maintaining the American frontier traits of rugged individualism, of fierce competitiveness, of unblushing patriotism. At the same time they had solidified and strengthened their economic position through political action. On the state level in 1928 they had reelected Dan Moody as governor, a brilliant lawyer versed in administrative efficiency and dedicated to "wiping out debts and lowering taxes," while on the national front they had for the first time voted for a Republican for the presidency. Herbert Clark Hoover of Iowa, with a strong belief in future prosperity for the country, had touched their wallets and won their purse-string allegiance. In addition to the prosperity factor was the issue of controversial Democratic nominee Alfred E. Smith. Catholic, urban-born, progressive in policies, yet educated politically by boss-dominated Tammany Hall, Smith was anathema to a majority of Texans, who were Protestant, agrarian conservatives and who openly embraced the return of morality and traditional American values nominally espoused by the Ku Klux Klan.
But on "Black Tuesday," October 29, 1929, all such optimism ended, as 16,000,000 shares of stock changed hands and the New York Fois industrial average plunged nearly forty points, thus marking the worst day in Wall Street history to that point. Over the next few weeks stocks on the New York exchange fell by 40 percent, a loss of $26 billion. Concerned and apprehensive, President Hoover reasoned that since the stock market was responsible for the collapse, the way to recovery was to correct the weaknesses within that institution. Having fashioned United States domestic policy over the past nine years, both as secretary of commerce and as president, he could not conceive that the entire economy was unsound. He therefore inundated the news media with expressions of confidence, with continual testimonials by cabinet members and business leaders. For instance, on November 4, 1929, Henry Ford announced that "things are better today than they were yesterday." To keep up the prevailing tempo Hoover also resorted to numerous meetings and conferences at the White House and time and again predicted that the depression was at an end or soon would be. Almost to a person Texans agreed. Through 1930 they persisted in their optimism, in their belief that the depression affected only those moneyed "gamblers" in the stock market, and in their denunciation of greedy Easterners who tried to undermine the sound United States economy. They therefore readily supported Hoover's morale crusade. After all, they relied upon the land of their forefathers as well as cattle and oil&mdashand fortunately the 1929 cotton crop had already been harvested and sold at a healthy price. Besides, New York and financial chaos were far away and, if need be, Texans could always produce enough from their farms to keep from going hungry.
Even in urban Texas this mind-set prevailed, with both community leaders and news media indulging in unrealistic logic and provincial pride. In Fort Worth the Record-Telegram et Star-Telegram, until the spring of 1931, pointed to increased construction, railroad traffic, oil production, and cattle and poultry sales as stabilizing, if not propitious, influences. "As a matter of fact, in America, we don't know what hard times are," a 1930 Star-Telegram editorial asserted. In Austin both university expenditures and state government employment bolstered the economy, while the political activities of the Forty-first Texas Legislature occupied much of the newspaper space. Even though swarms of insects had devastated a bumper crop and the stock market crash had the sobering effect of sweeping away "paper profits and some cash," local merchants, fearing that pessimistic headlines might have deleterious consequences in the economy, boomed the city through advertisements. Typical of their rhetoric was a paid plea to "talk Austin, write about Austin, work for Austin, and live for Austin." In Dallas, business in construction was flourishing in 1930 recent arrivals the year before had seen to that. The East Texas oil boom, centering around Kilgore, lessened thoughts of depression until the summer of 1931, when overproduction and falling prices affected the city economy. Oil prices plummeted so precipitously by this point that Governor Ross Sterling declared martial law and temporarily shut down the East Texas oilfield, a widely-criticized move that was followed by Texas Railroad Commission rule regulating oil production. In Houston, optimism was initially equally high at the beginning of the depression. Although fear of depression was widespread during the first months following the crash, the Post-Dispatch offered a continual salve. "More and more it appears," the editor asserted on November 17, 1929, that "the changes in stock prices are purely an affair of and for stock speculators." Again in March 1930, after the mayor had dismissed a number of city employees and 600 demonstrators had marched in protest, the Post-Dispatch announced that "Houston is comparatively free of discontent due to economic conditions." Besides, with proceeds from a busy port massaging the local economy, with oil refineries being constructed to meet increasing needs of production, and with financier-banker Jesse H. Jones as their leader, Houstonians temporarily ignored harsh realities. And in San Antonio, business leaders seemed afraid to admit depression, especially in the Express, even though unemployment and bleak economic conditions were omnipresent. An October 1930 front-page article in the Express reported that San Antonio was "one of five cities. to which men of billions. [were] looking to invest their money" another on October 5 debunked the "talk of `depression' and `money shortage'" and still another on September 28 noted that economists were predicting "better times. in store for San Antonio and the rest of the United States."
As depression worsened across the United States in 1931 and 1932 Texans eventually had to recognize its existence, then attempt to combat its devastating effects. Since the Hoover administration seemed incapable of meeting the people's needs, private charities shouldered the burdens of the poor and desperate until funds were exhausted, whereupon city governments and community leaders intervened. At Temple in Bell County, after two banks folded in 1931 and cotton dropped between five and six cents a pound, the Retail Merchants Association issued scrip&mdashas did the San Antonio School Board&mdashin denominations of twenty-five cents, fifty cents, and one dollar. In Midland, Dallas, and Fort Worth the chambers of commerce sponsored gardening projects, either donating land and seed or encouraging people to plant vegetables. In turn, businessmen in Fort Worth and San Antonio pledged to hire laborers on a part-time or weekly basis but at the same time passed ordinances not to hire transients hobo jungles, soon to be called "Hoovervilles," alarmed Texans. To obtain more money for relief, to provide soup kitchens and breadlines as well as shelter for the hapless, any number of cities&mdashHouston, Dallas, Fort Worth, Austin&mdashsponsored plays or musicals, the proceeds of which went to charity. In rural Texas economic conditions during 1931 and 1932 also deteriorated. But farmers, many of whom were sharecroppers and tenants, were already accustomed to some poverty and therefore did not always realize the degrees of hardship. Yet, as prices plummeted, as drought exacerbated their plight, as debts rose and foreclosures mounted alarmingly, they sought relief from their worsening situation. For example, noted celebrity Will Rogers, with the backing of Star-Telegram publisher Amon Carter, mounted a fundraising tour through Central and West Texas to raise funds for drought-stricken farmers in 1931. Yet neither Governor Ross Sterling of Texas nor the Hoover administration, although funneling some funds to farmers through the RFC (Reconstruction Finance Corporation), reversed this dire trend. The depression had indeed overwhelmed them.
Also overwhelmed by the ravages of depression were those Texans whose economic position was already tenuous. Not surprisingly, African-Americans found themselves hardest hit as the average Black family&rsquos earnings fell as well from $978 in 1928 to a low of $874 in 1933. In rural areas, plummeting farm prices and the continuing trend of mechanization of agriculture combined to take their toll on Black Texans, forcing many of them either off the land or into lower status as farm laborers. By 1935 an estimated 90 percent of African American farm laborers were unable to find gainful employment. Urban Black Texans were not any better off than their rural counterparts. For example, even though Black Austinites were just 18.5 percent of the population, 35.6 percent of the city&rsquos unemployed population was Black. And while urban Texas was not spared the worst of the depression, conditions in the countryside encouraged migration to the cities especially by Black Texans. As a matter of fact, the state&rsquos African American urban population grew by more than 180,000 during the decade, thus creating tighter competition for the shrinking blue-collar jobs typically reserved for Black Texans at the time. And while legal efforts in Texas to undermine Jim Crow accelerated during the depression in spite of low funding, any gains made through the courts were negligible, and Black Texans would have to wait several more years before rulings such as Smith contre Allwright (1944) began to weaken the structure.
Mexican Americans did not fare much better, as both migrants and urban dwellers entered the depression decade already in a tenuous socioeconomic position. Rural Tejanos, generally paid lower wages than their White counterparts, found themselves the target of the ire of their White neighbors who struggled to find work. One Fort Bend County White tenant farmer grumbled, &ldquoThis county is literally overrun with Mexicans. &hellip I am an up-to-date cotton and truck farmer and a good gang foreman, but as I am not a Mexican, there is no work for me.&rdquo Such attitudes were not rare across agricultural regions of the state. The United States Immigration Service targeted Mexican Americans of both legal and undocumented status for deportation, and between 1929 and 1939, around 250,000 returned to Mexico from Texas either as result of said deportation or voluntary repatriation (voir MEXICAN AMERICANS AND REPATRIATION). Of course, many of them remained. Yet, Mexican Texans refused to accept a position of passive victimhood. On the eve of the depression, delegates representing several fraternal societies met to create the League of United Latin American Citizens (LULAC), an organization which saw its membership expand during the 1930s. In San Antonio, Tejanas such as Emma Tenayuca organized a number of strikes protesting low wages and unhealthy working conditions in the cigar and pecan industries with varying degrees of success (voir PECAN-SHELLERS&rsquo STRIKE).
The fact that women organized and led these strikes reflected the growing number of women in the urban workforce. Granted, Texas women of all ethnicities and races discovered that the depression amplified already existing challenges, and many were criticized for seeking employment during the depression on the grounds that they took jobs from well-deserving men. Yet, more than half a million Texas women worked for wages. Many more, especially Black women, would have worked if the opportunity was available. One should not ignore the fact that many other Texas women who did not work for wages continued to toil daily on the family farm, especially as falling cotton prices in the early years of the depression led many farmers to grow more cotton and thus require more field labor. One woman, Wilma Edwards, recounted how her mother stood &ldquoover that hot stove all day long. . .pregnant with my brother, prepar[ing] hundreds of cans of beef and everything in the year of 1931 and &rsquo32, all kinds of vegetables, and preserve[ing] all kinds of fruits.&rdquo
Consequently, Texans sought new solutions to their problems. President Hoover, whom they had ardently supported for more than two years, was now a villain of huge proportions, a betrayer of capitalism and democracy, the man who was responsible for their economic calamity. With grim satisfaction they readily endorsed the debunking of their hero by calling&mdashsometimes laughingly, sometimes savagely&mdasharmadillos "Hoover hogs," tent and tar-paper hobo jungles "Hoovervilles," and pants pockets turned inside out "Hoover flags." So when Democrats nominated Governor Franklin Delano Roosevelt of New York for president and John Nance (Cactus Jack) Garner of Uvalde for vice president in the summer of 1932, the election choice was evident. Texans agreed that a "New Deal for the forgotten man" required their backing the Democratic ticket garnered 88.6 percent of the state vote. Residents of the state, hoping for immediate returns on their political decision, were not disappointed. The state representation in Washington was powerful and influential. Besides Garner, who performed the "role as liaison man between the administration and Congress" until 1937 and who was considered by some to be "the most powerful Vice President in history," Sam Rayburn of Bonham figured prominently. In the House he chaired the Interstate and Foreign Commerce Committee and, as Garner's acknowledged protégé, he was in line for majority leader and, eventually, speaker. Six other Texans also held House chairmanships, including James P. Buchanan of Brenham on Appropriations, Hatton W. Sumners of Dallas on Judiciary, and Marvin Jones of Amarillo on Agriculture while in the upper house Morris Sheppard headed the Military Affairs Committee and Tom (Thomas T.) Connally chaired Public Buildings and Grounds. Equally if not more impressive was the position of Jesse H. Jones. As head of the RFC he managed an economic empire within the government. By 1938 he had disbursed $10 billion to financial institutions, agriculture, railroads, and public works&mdashand, remarkably, practically all of the money was later repaid.
Conservative and mostly from rural areas, the Texas delegation members were, Congressman George H. Mahon candidly stated, "Democrats first and New Dealers second." But more than anything else they were Texans interested in economic recovery for the United States, hence for their state. Philosophically most of them agreed during Roosevelt's first term with Jones, who bluntly told a convention of resentful bankers in 1933 to be smart, for once, and take the government into partnership. They therefore figured prominently in New Deal legislation. In banking, Garner and Jones&mdashover Roosevelt's opposition&mdashhelped incorporate the Federal Deposit Insurance Corporation into the Glass-Steagall Banking Act. To correct many weaknesses in the stock market, Rayburn was instrumental in passing the Truth in Securities Act and the Securities Exchange Act. He was also important in such legislation as the Emergency Railroad Transportation Act, the Federal Communications Act, the Rural Electrification Act, and the Public Utility Holding Company Act. In Agriculture, Marvin Jones helped restructure the agrarian economy in 1933 by aiding passage of the Emergency Farm Mortgage Act, the Farm Credit Act, and the Agricultural Adjustment Act as well as providing drought-relief funds for the Manche and West Texas. In 1934 he aided Texas ranchers with the Jones-Connally Act and sugar producers with the Jones-Costigan Sugar Act. The Texas delegation, overall, supported the National Industrial Recovery Act and emergency unemployment, ever mindful that a good deal of federal aid would find its way to Texas.
Officials on the state level during FDR's first term were not nearly as effective. In November 1932 former governor Miriam A. (Ma) Ferguson defeated incumbent governor Ross Sterling, who was a victim of depression politics as well as election fraud in East Texas. After her inauguration in January, she, with the help of her husband, former governor James E. (Pa) Ferguson (who had been impeached in 1917), tried to deal with the state's pressing economic problems. To avert a financial panic, she boldly&mdashand with questionable constitutional authority&mdashdeclared a bank moratorium on March 2 then, rather fortunately, three days later Roosevelt sustained her decree by proclaiming a national bank holiday and promising to reopen all suspended banks within a short time, but under federal guidelines. At the same time, with estimates that the state debt was in the $14 million range, Governor Ferguson repeatedly but unsuccessfully proposed to the legislature both state sales and income taxes. Except for the passage of a two-cent-a-barrel tax on oil, she could reduce deficits only by cutting appropriations. An even more important issue for the Ferguson administration was unemployment and relief&mdasha problematic matter that led to scandal. When late in 1932 the RFC made substantial funds available to the governor, who, in turn, was to dispense money to counties through three regional chambers of commerce, the Fergusons were delighted. Here was an excellent opportunity to build an even more powerful political machine with federal money. By executive order, therefore, Mrs. Ferguson established the Texas Relief Commission and selected Lawrence Westbrook as director. Immediately she and Pa and Westbrook brought local relief administrations into their organization and placed the funds in pet banks. Then in May 1933, after Congress passed the Federal Emergency Relief Act (FERA), they had an even greater windfall to administer, with the Texas Rehabilitation and Relief Commission specifically created by the legislature to oversee and distribute federal money through a system of county boards. Jim Ferguson, at the behest of his wife, became the commission chairman, although without a legal right to do so. Together with Westbrook and several appointees, he filled county boards with constituents and friends.
To keep their political machine well oiled, the Fergusons needed money&mdashand lots of it. Consequently they pressured the legislature to approve a $20 million relief bond issue in the form of a constitutional amendment upon which the electorate would vote. Then they used every possible maneuver to get it adopted. They padded payrolls with supporters, paid poll taxes for "their voters," and financed the campaign, oftentimes with federal funds. The situation in Bexar County exemplified their tactics. Bexar County had 252 people on its payroll with monthly salaries as large as $300, whereas the average county had about fifty employees and sometimes paid them very little. Of course, the Fergusons also appealed to basic greed as well as human compassion. "We told them [social workers] if they wanted more money to give out that they had better vote with us," Bexar County relief administrator Tex Alsbury testified, "and we got them to get the precinct vote. The people. were out of work and money. They were hungry and they lined up to vote." As a final coup de grâce, the Fergusons persuaded FERA administrator Harry Hopkins to join the campaign. In a radio address three days before the election he announced that "the federal government has no intention of continuing to pay 95 percent of the Texas relief bill after the bond election on Saturday." Hence on August 26, 1933, Texans approved of relief for the unemployed. But the Fergusons' ambitious tactics brought questions of corruption, and both legislative chambers called for an investigation. During the fall of 1933 a Senate investigating committee heard conflicting testimony. Yet the issue was soon resolved after Westbrook, director of the Texas Relief Commission, admitted under oath, "I know that in some instances outright fraud has been committed, forgeries, misapplication of funds." As a result, A. R. Johnson, the Austin city manager, replaced Westbrook on February 12, 1934, thus destroying the Ferguson relief machine.
Still another issue during the Ferguson years was the lack of law and order, a problem involving the Texas Rangers, who, during the Democratic primary late in July 1932 supported Governor Ross Sterling&mdasha grave error politically, especially in the Ferguson stronghold of East Texas. In January 1933 the new governor fired every ranger for such partisanship&mdashforty-four in all. The results were disastrous. The legislature reduced new ranger salaries, eliminated longevity pay, slashed travel budgets, and limited force personnel to thirty-two men. Mrs. Ferguson then appointed new officers, many of whom "by any standard," historian Steve Schuster candidly asserted, "were a contemptible lot." In less than a year one private was convicted of murder several others in Company D, after having raided a gambling hall in Duval County, were found to have set up their own establishment with the confiscated equipment and still another, a captain, was arrested for theft and embezzlement. But even worse, the governor began using special ranger commissions as a source of political patronage. Within two years she enlarged the group of special rangers to 2,344 men, thus prompting the Austin américain to comment that "about all the requirements a person needed. to be a Special Ranger was to be a human being." The effects of the rangers' becoming a source of patronage, corruption, and ridicule directed toward state law enforcement were, of course, catastrophic. During the Ferguson years crime and violence became widespread, bank holdups and murder commonplace. Soon few states could claim a more vicious assortment of gangsters or provide a safer sanctuary for the criminal element. For instance, residents in the Dallas-Fort Worth area alone included George "Machine-Gun" Kelly, Raymond Hamilton, and "mad-dog killers" Clyde Barrow et Bonnie Parker. Who besides Ma Ferguson was responsible for this breakdown in the public defense? To most Texans the answer was obvious. As one newspaper sarcastically remarked, "A Ranger commission and a nickel will get. a cup of coffee anywhere in Texas."
Since Mrs. Ferguson decided not to seek reelection in 1934 (she honored the two-term tradition, having first served as governor from 1925 to 1927), the Democratic primary was wide open. Puis James (Jimmie) Allred stepped into the breach. Clean-cut looking and personable, the thirty-five-year-old Allred was easily the front runner in the lackluster gubernatorial campaign. As Texas attorney general for the past four years, he had the greatest name recognition of the candidates he received powerful support from such men as Vice President Garner, Jesse Jones, and former governor Ross Sterling and he had a well-financed campaign to help him tout the virtues of the New Deal as well as stricter enforcement of the law. Allred led the field of six candidates in the Democratic primary and then defeated wealthy oilman Tom Hunter of Wichita Falls by 40,000 votes in the primary runoff. In November he was the victor over Republican D. E. Wagonner. Once elected, Allred ensured his tenure as governor for four years by bringing New Deal money to Texas. He immediately sought permission to issue the remaining $3.5 million from the $20 million relief bonds passed in August 1933 and hinted that the federal government might give matching funds for old-age pensions. He next decided to replace the dole to the unemployed with direct work relief. Hence, he focused on the Civilian Conservation Corps (CCC), Work Projects Administration (WPA), National Youth Administration, and Public Works Administration (PWA). As a consequence Texas received, one report stated, more than $166 million by August 31, 1936, of which Washington proffered more than $96 million another source estimated the total to be $350 million by the end of the year.
The CCC, a nationwide program for young men that focused on natural resources from 1933 to 1942, was very active in Texas. At its peak in 1935 the corps had twenty-seven camps in Texas constructing recreational parks and an additional seventy camps for work in forest and soil conservation. Because assignment to states was random, many Texans participated in other states' CCC camps, joining some 2,500,000 men across the country. Most men earned thirty dollars a month and were required to send at least twenty-five dollars of that to their families. In addition to this economic aid, the CCC left an architectural legacy in Texas, seen today in buildings in thirty-one state parks and several city and county parks. The NYA also greatly benefited Texans, specifically those of ages sixteen to twenty-five. Under the leadership of twenty-seven-year-old Lyndon Baines Johnson, the state program provided support for high school students in 248 counties as well as for young people in eighty-three colleges and universities. For two years, beginning in the summer of 1935, Johnson employed 10,000 to 18,000 students a month "at various part-time clerical or maintenance jobs earning a maximum $6.00 per month in high school and $15.00 in college." In out-of-school work programs he hired more than 12,000 young Texans who, in turn, constructed 250 roadside parks, graveled the shoulders of 2,000 miles of highway, improved or built recreational facilities in seventy-six state parks, and refurbished the playgrounds of public schools. But the emergency public employment programs of the PWA and WPA were equally if not more helpful to the state economy. In Fort Worth, for example, these federal agencies expended $15 million on a variety of projects. From 1935 to 1938 they "completely modernized the entire school system," historian John McClung asserted, "making it one of the best in the state." The PWA constructed thirteen school buildings and made additions to thirteen more, while rehabilitating most of the existing structures. In conjunction with these projects, the agency "landscaped and beautified fifty-four of the existing sixty-three school grounds." These agencies also provided funds for red-brick roads, some of which are still in existence the 12,000-seat concrete high school stadium named Farrington Field Will Rogers Memorial Coliseum and Auditorium John Peter Smith City-County Hospital a new city hall and jail a new public library and the famous Fort Worth Rose Garden. Together with the Federal Writers' Project (voir TEXAS WRITERS&rsquo PROJECT), whereby scholars were hired to index newspapers and record local history, the Federal Theater Project and the Federal Art Project provided money for artists and thespians to develop their crafts.
Not all Texans enjoyed full access to the benefits of the New Deal, though some racial and ethnic minorities were recipients of New Deal largess. Some, especially Tejanas, found employment in WPA-sponsored sewing rooms. Not all who were eligible for federal programs enrolled however, as fears of deportation kept many Tejanos from seeking these benefits. As with Tejanas, Black women discovered that the New Deal provided limited benefits. For example, only 3 percent of WPA workers in Texas were Black women, and those that were employed faced persistent discrimination. In the words of San Antonio residents B. E. Bone and I. M. Howard, &ldquoThey treated us very bad at the WPA office.&rdquo At the same time, however, through Lyndon Johnson&rsquos efforts, NYA programs helped 19,000 young afro-américains, the primary requisite for selection being that of "need."
Another aid to the state's economy at this time was the Texas Centennial celebration in 1936. Despite the depression, the Texas Centennial Commission was formed in September 1934 to plan the celebration the legislature passed an appropriations bill for the effort in April 1935. With additional federal assistance, the state centered its activities on Dallas, where a $25 million effort was put into transforming Fair Park into a world's fair with permanent buildings. Work proceeded quickly, and with a very positive effect on the local economy, and in June 1936 President Roosevelt joined Governor Allred, who was campaigning for his second term, in visiting the grounds. In addition to the Dallas festivities, the celebration included a program of permanent monuments, markers, museums, and restorations, as well as a highly successful publicity and advertising campaign.
Allred was a willing conduit for massive amounts of federal funds. At the same time, however, he dealt with a number of state problems that greatly affected his constituency. In both regular and several special sessions the legislators, at his behest, authorized a state planning board, appropriated $11 million for higher education, and set aside $10 million for rural relief. Allred also established the Texas Department of Public Safety, which brought the famed Texas Rangers and the uniformed Highway Patrol under one aegis, thereby fulfilling one of his major campaign promises&mdashbetter law enforcement. After Congress passed the National Social Security Act in August 1935, he pushed through complementary legislation having to do with old-age pensions, unemployment compensation, teacher retirement, and aid for needy children and the blind. At the same time he increased the state deficit to $19 million. Because he made needed reforms and provided governmental service, Jimmie Allred, as the New Deal governor of Texas, governed popularly&mdashand reasonably well.
Yet in 1937&ndash38, despite great political influence in Washington, ready access to federal money, and Allred's leadership, a number of Texans began to harbor grave reservations about the New Deal and, particularly, the power of the president. After the November elections of 1936, in which Roosevelt carried all but two states (the electoral vote was 523 to 8), Vice President Garner appeared to be more and more alienated. With increasing frequency he openly criticized New Deal spending programs, while abhorring labor's newest tactic against management, the sit-down strike. Texans were further distanced from the president when, on February 5, 1937, he announced his plan to reorganize the judiciary, including a proposal to increase the membership of the United States Supreme Court. This controversial recommendation, which would allow the president to add a justice (up to six) to the court each time an incumbent member turned seventy but did not retire, was Roosevelt's attempt to overcome the high court's rulings against various New Deal laws. Garner, together with Sam Rayburn, Hatton Sumners, Tom Connally, and most of the Texas delegation, was firmly opposed. The plan ultimately failed in Congress (voir COURT-PACKING PLAN OF 1937). Then, in the mid-year elections of 1938, Roosevelt committed the ultimate political sin, as far as they were concerned he tried to purge the Democratic party of those who had opposed New Deal programs. On his hit list were eight Texas congressmen&mdashMartin Dies, Richard M. Kleberg, Fritz (Frederick G.) Lanham, Joseph J. Mansfield, Milton H. West, Clyde L. Garrett, Nat Patton, and Sumners&mdashall of whom won against Roosevelt men in the primaries, while New Deal incumbents Fontaine Maury Maverick and W. D. McFarlane lost. These political events, coupled with the formation of a vitriolic anti-Roosevelt group who called themselves Jeffersonian Democrats (led by J. Evetts Haley, Joseph W. Bailey, Jr., and J. M. West), nurtured dissent and unrest throughout the state against the New Deal.
But in the spring of 1938 a political phenomenon took place in Texas that overshadowed these party struggles and allowed Texans to focus upon one central figure&mdashWilbert Lee ("Please pass the biscuits, Pappy") O'Daniel. A Fort Worth businessman and radio personality who sold Hillbilly Flour with an accompanying band known as the Hillbilly Boys, Pappy O'Daniel announced his candidacy for governor on May 1, 1938, after receiving more than 54,000 letters in one week "begging" him to run. He then proceeded to dumbfound political analysts and stun his opponents. Using campaign techniques that resembled the old-fashioned revivalism of camp meetings, he stumped the state in a bus and played traditional songs and gospel music before passing collection plates in the form of barrels labeled "Flour-not Pork." Texans had not seen anything like him, not even Jim Ferguson. For what could opponents say about a man whose platform was the Ten Commandments and motto the Golden Rule, who pledged a pension of thirty dollars a month for every Texan over sixty-five, and who recited to attentive, enraptured audiences such poems as "The Boy Who Never Got Too Old To Comb His Mother's Hair"? When newsmen and opponents pointed out that O'Daniel had not been civic-minded enough to pay a $1.75 poll tax in order to vote, he damned the professional politicians and declared that "no politician in Texas is worth $1.75." In a field of thirteen, which included Attorney General William McCraw of Dallas, Railroad Commissioner Ernest O. Thompson of Amarillo, and Tom Hunter of Wichita Falls, O'Daniel soon became the front runner and in the July Democratic primary he won by a majority of 30,000 votes.
For almost three years the O'Daniel aura held sway in state politics, although having little legislative impact. After his inauguration in January 1939, at which 100,000 people jammed into Memorial Stadium at the University of Texas, the new governor quickly demonstrated his inability to lead, his ineptness in dealing with the legislature, and his lack of understanding of the art of government. To support his pension plan and provide money for a state budget, O'Daniel proposed a 1.6 percent tax on business transactions, actually a well-concealed multiple sales tax, which the legislature promptly rejected. He then campaigned for a constitutional amendment whereby the electorate would vote upon the merits of a state sales tax however, a militant minority in the House&mdashthe "56 Club"&mdashprevented its passage. Consequently, to cut costs as well as retaliate against hostile legislators, he line-item-vetoed a number of appropriations that were important to the well-being of Texans: new buildings for state hospitals beds for epileptics, orphans, and the feeble-minded the funds for the Texas Department of Public Safety and State Highway Department. This last economy resulted in the Texas Rangers having, at times, "to borrow ammunition from highway patrolmen." Equally inappropriate, if not laughable, were many of his appointments. For example, as state labor commissioner he selected a desk worker at Southwestern Bell Telephone Company who was not even an officer in his own union and whose only qualification was a letter he wrote praising one of O'Daniel's radio addresses. For the state highway commission O'Daniel chose oil man J. M. West of Houston, a leading Jeffersonian Democrat the Senate, fearing the possible loss of federal road funds, immediately rejected this nomination.
Despite this carnival in Austin and his lack of accomplishment, O'Daniel remained strong with the people. In the Democratic primary of 1940 he proved that his first election was not a fluke, that his vote-getting powers were a reality. Against a fairly strong field, including Ma Ferguson, Railroad Commissioner Jerry Sadler, Highway Commissioner Harry Hines, and Ernest O. Thompson, he polled a majority of a little more than 102,000 votes. In the spring of 1941 the stalemate between the governor and the legislature therefore continued&mdashthat is, until circumstances dictated a political realignment&mdashand O'Daniel staged an accompanying farce. On April 9 United States senator Morris Sheppard died, and O'Daniel, although himself desiring the position, had to appoint a "suitable and qualified" interim replacement. So on San Jacinto Day, April 21, he selected someone who would never be a threat to his own candidacy, eighty-seven-year-old Andrew Jackson Houston, the only surviving son of Sam Houston. One veteran politician observed that he was already "in his dotage," or, putting it less charitably, he stated, "That old man probably couldn't tell you whether the sun was up or had gone down." At any rate, Houston was sworn in on June 2 and filled this prestigious position until his death later in the month. In the meantime O'Daniel geared himself for the June special election to fill Sheppard's seat. The competition was formidable. Besides Congressman Martin Dies and Attorney General Gerald Mann, the young congressman Lyndon Baines Johnson, who received the support of FDR as well as most of the moneyed people in Texas, announced against him. A number of people actually wanted to get O'Daniel out of Texas, however, by sending him to Washington. Reputedly Jim Ferguson, who "had been very friendly with the liquor interests for close to three decades," feared that the governor would appoint "good clean honest Christian dry citizens" to the state Liquor Control Board and was thus campaigning for his election. But more important for O'Daniel was the tremendous support from the friends of Lieutenant Governor Coke Stevenson, who would inherit the governorship if O'Daniel went to the Senate. After a hard-fought, expensive campaign O'Daniel once again proved his resiliency by receiving a plurality of votes over LBJ of 175,590 to 174,279. In August 1941, with O'Daniel's resignation, Stevenson became governor. The turbulent rivalry between the executive and legislative branches subsided&mdashand none too soon. Within four months, on December 7, the Japanese attacked Pearl Harbor and the United States entered La Seconde Guerre mondiale.
Voir également DUST BOWL, TEXAS IN THE 1920S.
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